jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away !
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Bartholomew Le Ray
my body's a zombie for you
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Sujet: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 26 Jan 2014 - 13:43
Bartholomew Le Ray « Je n'ai pas peur de mourir, simplement je ne veux pas être là quand ça se passera. »
NOM ✢ Le Ray PRÉNOM ✢ Bartholomew DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✢ 23 février à Sheffield, Angleterre ÂGE ✢ 33 ans PROFESSION ✢ ancien chef d'entreprise, et... inventeur... de plein de choses. SITUATION MATRIMONIALE ✢ célibataire ORIENTATION SEXUELLE ✢ je ne sais pas trop...SITUATION FINANCIÈRE ✢ riche, tant qu'à faire !EN UNE CHANSON ✢afraid of everyone, the nationalGROUPE ✢ lose your soul
QUALITÉS ET DÉFAUTS ✢ hypocondriaque, geek, nosophobe, casanier, inventif (un peu trop d'ailleurs), peureux (un peu trop aussi d'ailleurs.)
À SAVOIR ✢ il a dit à ses parents qu'il était vivant, résultat crise cardiaque pour la mère. il a aussi fait une reproduction de al tour de pise en spaghetti.
PETITS SECRETS ✢ il ne sait pas faire un noeud de cravate. non, vraiment, il demandait aux vendeurs de les faire à l'avance, comme ça... il n'avait qu'à la passer autour de sa tête.
je... hm. Ca fait un peu peur d'être mort, en fait. Parce que je suis tout froid maintenant, et vu que j'avais tout le temps froid avant, c'est angoissant. Mais au pire, je mets le chauffage de la maison à fond maintenant. Je ne sors pas. Je ne veux pas sortir. Ne me faites pas sortir, s'il vous plait, je ne veux pas sortir, je ne veux pas... Enfin si, certaines personnes arrivent à me faire sortir maintenant mais je pleure, je pleure tout le temps et je passe pour un imbécile. Si je passe pour un imbécile et que je pleure tout le temps, est-ce que l'on va me tuer ? Est-ce que je vais encore mourir ? Est-ce que je peux encore mourir ? Tour de pâtes. Voilà. Tour de pâtes. Je fais ça dans mes journées, je construis des tours de pâtes comme ça je ne sors pas. J'en fais en allumettes aussi. Et avec des petites cuillères, mais je n'en ai plus pour manger mes Danettes au chocolat après... De toute façon, je n'ai plus de Danettes au chocolat. Faut que j'aille au supermarché pour en acheter. Et ça me fait un peu peur... J'ai tout le temps peur je crois. Et je n'ai plus de pâtes pour faire des tours. Mince.
kynu✢LIKE EVERYONE KNOWS ME NOW.
✢ veux-tu avoir l'exclusivité du prénom ? (X) oui () non ✢ veux-tu avoir l'exclusivité du nom ? (X) oui () non ✢ qui est sur ton avatar ? ici ✢ à qui dois-tu tes images ? scarecrow / tumblr ✢ un petit mot pour finir ? schalguevuk ?
Bartholomew Le Ray
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Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 26 Jan 2014 - 13:45
story of my life. « Hatee-hatee-hatee-ho! »
Dans le fond, c’est quoi le monde ? Bartholomew se pose la question depuis longtemps, de toute façon. Inventeur de génie parmi les riches bourgeois de l’Angleterre, voilà ce qu’il est. Le reste,ça fait peur. Il s'y intéresse, mais ça fait peur.
Il a vécu toute sa vie chez lui. Sa vie a toujours été vide en rebondissements. Quand papa & maman ont de l’argent, on a le droit de se payer des professeurs pour des cours particuliers, on a le droit de rester chez soi à jouer avec ses jouets. Bartholomew, lui, créait. Il prenait des cuillères pour construire le Minas Tirith du Seigneur des Anneaux, il a fait l’Etoile Noire de Star Wars en cure-dents. Bartholomew, il était heureux de vivre tout seul dans la maison. Bartholomew, il était heureux de ne pas sortir jouer dans la grande cour de la maison. Bartholomew, il était juste heureux. Bartholomew, il s’était dit qu’il n’avait pas besoin des autres pour s’amuser, de toute façon. Bartholomew, il s’était dit qu’il vivrait tout seul comme un grand et qu’on ne pourra rien lui dire.
Il a toujours écouté tout de même ce que ses parents lui disaient. Se méfier des autres, qu’avec son argent, on chercherait à se servir de lui. De toute façon, il ne comptait pas parler aux autres, alors bon. Ca ne craignait rien. On lui a toujours dit que la Reine et le premier ministre, ils avaient raison sur tout. Alors il défend la couronne anglaise, dans sa tête. Et que personne ne s’avise de lui dire que la reine est une vieille peau d’hareng, il risquerait de se vexer. Alors Bartholomew, il paye ce qu’il doit à la reine quand il le doit. Parce que c’est ce qu’il faut faire.
Il a l’argent de ses parents. Il s’en sert. Il s’achète tout et n’importe quoi pour ses inventions. Des cuillères, de la colle, des bonbons. Il veut tout créer pour rien, il ne veut rien créer pour faire un tout. C’est ainsi. Il s’occupe comme il peut, vu qu’il ne va pas à l’école. Le professeur particulier s’est toujours moqué de ses inventions en disant qu’elles étaient dangereuses. Foutaises, il sait qu’elles sont bien, ses inventions. Il sait qu’un jour, il pourra faire plein de choses avec.
Puis quand il a eu 18 ans, on lui a dit de partir en Ecosse. Papa & maman voulaient que quelqu’un représente la société Le Ray, là-bas. Alors il y est allé. C’est pas aussi joli que chez lui avant, Stonehaven. Mais enfin. Il a une petite maison quand même, c’est déjà ça. Mais là-bas, il est obligé de sortir pour travailler. Là-bas, il n’a pas trop le choix.
Il ne sait pas trop quoi faire dehors. Il ne fait pas de rencontres. Il a envie pourtant. D’ailleurs, il est vierge et il s’en fiche. Il sait quand même que son entrejambe marche à merveilles pour avoir essayé de s’en occuper.
Mais ça se passe bien dehors. Tout se passe très bien et Bartholomew s’en étonne. Il en a peur, un petit peu, quand même. Parce qu’il n’a pas l’habitude de parler aux autres. Il se fait des amis mais ce n’est pas aussi bien qu’il ne le pensait. De toute façon, les gens se moquent de la reine en Ecosse. Alors forcément.
Puis un jour il est rentré du bureau et il est mort. Pouf. Comme ça. Et maintenant, Bartholomew se persuade qu’il est mort dehors. Parce qu’on lui a toujours dit de se méfier des autres. Peut-être qu’on l’a tué pour l’argent, se dit-il. Peut-être qu’on l’a tué parce que les autres sont fous à rester dehors comme ça. Il sait que ça fait un petit moment déjà, de toute façon. Cinq ans ? Six ans ? Quelque chose du genre en tout cas. Puis il s’est réveillé chez lui. Et il soupire. Il ne se souvient pas trop, il sait juste que c’est en rentrant du travail. Voilà.
Persuadé d’être mort dehors, pas vrai ? Mais il est mort chez lui, comme un imbécile. Il est rentré et une invention lui a explosé à la tête. Il s’est juste étouffé avec une boule de papier qui a été lancée par sa catapulte en cuillère qu’il a percuté en ouvrant la porte des toilettes. C’est idiot, mais c’est ainsi. Ses parents l’ont enterré mais depuis, il s’est réveillé chez lui. La porte fermée à clé. Il se dit qu’il ne doit plus sortir. Que s’il sort, tout va recommencer. Parce qu’il ne sait pas qu’il ne peut pas mourir à nouveau. Parce que oui. Il est un peu con, quand même.
En fait, il est revenu à la vie lorsque la branche de la société de ses parents a commencé à couler en Ecosse. Parce que c’était à lui de s’en occuper, et quand le patron disparait pendant six ans… C’est certain que tout ne peut pas se passer à merveilles, non ? Alors il se souvient qu’il doit y retourner, mais pour ça, il faut sortir. Et sortir, ça fait peur. Sortir, ça l’effraye. Sortir, c’est pour les personnes qui ne sont pas mortes dehors, se dit-il.
Il est con, en fait. Même pas capable de savoir qu’il vit là où il est mort ! Mais il a mit le pied dehors récemment, si ! Mais sur son balcon. C’est déjà un grand effort…
Deux yeux, un nez, une bouche. Non. Deux yeux bruns, un nez, une bouche aux lèvres rosées. Non. Toujours pas. Je ne trouve rien pour le nez. Quel adjectif peut-on donner à un nez ? Un nez droit ? Ce n’est pas forcément très beau. Retroussé ? En trompette ? Non plus, je n’aime pas. Ca ne sera qu’un nez. Donc je recommence. Deux grands yeux bruns, deux parts de terre au dessus d’un nez auquel je ne peux pas attribuer d’adjectif, en dessous duquel se glisse ma bouche aux lèvres délicatement rosée ornant souvent un sourire. Oui. Là. C’est mieux. Je suis un cliché ambulant. J’aime regarder mon visage tous les matins.
J’aime emmerder le monde. J’aime ruiner la vie des autres par mon petit sourire, j’aime leur voler des affaires, j’aime accuser le monde d’être coupable alors que je suis le seul à l’être. Bonnie & Clyde. Je suis les deux. Je ne cherche ni mon Bonnie, ni mon Clyde. Je suis le parfait mélange de ces deux personnes là. Sauf que je ne serai pas abattu comme eux. Non, je serai plus fort qu’eux car je ne commettrai pas les erreurs qu’eux ont commis. Pourquoi ? Parce que. Je fais ça parce que je ne sais pas quoi faire de mes journées et qu’il faut bien gagner sa vie. Il faut bien vivre, simplement. Travailler, non merci. Je n’ai jamais aimé faire ce genre de choses que tous les autres font. Tous les gens sont si semblables les uns aux autres ! Je n’ai pas envie de faire comme tout le monde. Je veux être différent sans que personne ne le sache. Je veux pouvoir me moquer d’eux en silence parce que je ne suis pas le même qu’eux. Parce que je ne suis pas l’esclave d’un monde qui est loin d’être des plus intéressants. Quand je marche dans la rue et que je les vois, avec leurs petites mallettes, leurs costumes. Quand je m’installe à la terrasse d’un café, je les vois tous là, en train de téléphoner ou de taper des tonnes de choses sur leurs ordinateurs. Ca m’agace. Ca m’énerve. Je me lève toujours. Et je prends plaisir à faire claquer l’écran sur leurs doigts avant de m’en aller. Je m’occupe. Voilà. Je suis un connard. Non.
Non, tout ça c’est un pur mensonge. Je ne sors pas de chez moi, je ne sors jamais de chez moi. Je n’aime pas l’extérieur, je n’aime pas ça et je n’ai jamais aimé. Je me moque d’eux par ma fenêtre parce que j’ai peur d’eux. Parce que je suis différent d’eux. Parce que je ne veux pas être comme eux et je ne peux pas être comme eux.
Chez moi, je me fiche des règles. Je mange dans la baignoire et je dors dans les toilettes. Parfois même je dors dans la cuisine. Tout dépend de mes envies. Du temps qu’il y a du carrelage, je me sens bien. Du temps qu’il y a juste quelque part où dormir, je me sens bien. Je ne demande que ça. Quoi ? Quoi encore et encore ? Oui, je parle pour ne rien dire. Oui, il ne se passe rien dans ma vie. Rien de ce qu’il devrait se passer dans une vie normale. Mais je m’en fiche. Je m’en fiche, je m’imagine une vie normale pour m’occuper. Et je ne sais pas si c’est si fabuleux que ça.
Pourquoi raconter ma vie de petit garçon ? J’ai vécu toutes les choses que les garçons qui avaient mon âge ont pu vivre. J’ai eu deux parents aimants, j’ai ensuite eu une petite sœur dont j’étais jaloux car ils s’intéressaient mieux à cette petite peste qu’à moi. Mais je l’aimais, aussi. Puis je suis allé à l’école. Je jouais au foot, je suivais les cours. Je suis entré au collège et… je jouais au foot, je suivais les cours. Et vins le lycée et… et je ne suivais plus les cours, je ne jouais plus au foot. Oula non ! A ce passage là de notre vie, on s’intéresse plus à regarder les fesses des autres. Mais tout ce que je viens de raconter dans le fond, c’est n’importe quoi. Oui n’importe quoi, je crois. Je ne suis jamais allé au collège, au lycée ou je ne sais où. J’ai toujours eu des cours à domicile. Toujours. Je suis toujours resté enfermé chez moi. Ramassis de merde. Je suis un ramassis de merde qui ne sait plus ce qu’il dit.
Je crois que je perds la tête à tout le temps rester enfermer. Mais j’ai peur de vous, bande de fous, tous dehors à tous faire la même chose. Est-ce que je vais devoir vous ressembler quand je vais sortir, moi aussi ? Je n’ose plus sortir. Pourquoi ?
Je suis fatigué. Fatigué fatigué fatigué. Je suis mort dehors. Ah. Ca me revient maintenant ! Je suis mort dehors. Je suis mort à cause de ces gens tous pareils dans la rue. Je suis mort à cause de ces gens tous identiques… Je n’en sais rien.
Deux grands yeux bruns, deux parts de terre au dessus d’un nez auquel je ne peux pas attribuer d’adjectif, en dessous duquel se glisse ma bouche aux lèvres délicatement rosée ornant souvent un sourire. Je n’aime pas les sourires. Je n’aime pas les gens. Je n’aime pas sortir. Je n’aime pas mettre des points à la fin des phrases mais je le fais parce que c’est tout de même moche si on ne met pas de ponctuation dans des phrases terriblement longues comme je suis en train d’écrire là à cet instant précis. J’aime créer. J’aime créer des choses, j’aime… faire des choses manuelles. Prendre des cuillères et créer des objets qui ne servent à rien. J’aime créer. Et je veux créer tout ce dont j’ai besoin pour ne plus jamais sortir de chez moi. Plus jamais. Plus jamais. J’ai tout l’argent qu’il me faut, je n’ai plus qu’à me faire livrer. J’ai toute la vie devant moi pour voir le monde à travers mon poste de télévision. Oui. Oui je ne veux plus sortir. Je veux rester là. Laissez moi là. Car dehors, c’est là où je suis mort.
Nicol R. Dunegan
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Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 26 Jan 2014 - 14:44
HAN *-* Christian Bale...je fonds toujours devant cet acteur REUBIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE SEXY BG
Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 26 Jan 2014 - 15:31
Je viens de hurler intérieurement. Pasque j'ai chanté la chanson du Joker de Noël pendant toute la période des fêtes. Pasque The National et Afraid of Everyone. Pasque genre bon retour. Pasque Bale. Pasque lkjhytgfrhjklijuhygtf.
Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 26 Jan 2014 - 15:35
Baaaaaaart Omg comment j'ai trop pensé à Nix en lisant le titre de ta fiche, je chantais en même temps, j'étais SÛRE que ça lui plairait BALE SRSLY. I LOVE YOUUUUUUUUU. Et rebienvenue à la maison du coup. Si t'as besoin de quoi que ce soit, as always hésite pas, même si tu connais les lieux.
Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Dim 2 Fév 2014 - 9:18
JOTEM AUSSI. Et j'aime toujours autant la folie de ce petit Bart. Par contre, comme Bene, y a moyen d'allonger un peu le petit paragraphe ? Idem, pas besoin d'en faire des tartines, mais un peu de ce qu'il aime, de ce qu'il aime pas ... Après promis j'arrête de t'embêter Et j'te valide ça.
Bartholomew Le Ray
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Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Sam 15 Fév 2014 - 12:56
Désolé du temps petit chaton éwè J'espère que ça ira cette fois
Sujet: Re: jingle bells, batman smells, robin laid an egg, the batmobile has lost a wheel and the joker goes away ! Mar 18 Fév 2014 - 18:06
Désolée du temps que j'ai mis.
C'est parfait mon chaton. J'te revalide donc le Bart. Et tu connais la maison. Amuse-toi bien.
congrats !
Bah ouais, si tu vois ça, c'est que bien évidemment tu as rejoint nos rangs ! Bref, pour t'aider à faire tes premiers pas ailleurs sur le forum, si tu as la grosse flemme de chercher les liens, j'vais t'faire une petite visite guidée. T'es prêt ? Tu verras, c'est pas bien compliqué.
Pour commencer, je te conseille fortement de passer du côté des DEMANDES, histoire de te trouver un logement et un boulot, ça peut servir. N'hésite pas à foncer te procurer un TÉLÉPHONE, et si tu as un peu de mal à trouver des LIENS ou des SUUJETS, fonce en chercher aux RECHERCHES, elles sont là pour ça ! Et la détente ? Le FLOOD n'attend que toi. Ah ouais, et n'oublie pas de VOTER POUR LE FORUM ! Et surtout, SURTOUT, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas !
Sur ce, je te souhaite bon jeu parmi nous !
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