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 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”

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Catherine Eisbroughs

Catherine Eisbroughs

nowhere we can hide





› Célébrité : Emmy Rossum
› Crédits : Avatar Shiya, gifs phoebetonkinshelps, signature Silver Lungs.

› Messages : 172
› Arrivée en ville : 17/08/2013
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“Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  Empty
MessageSujet: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 5:26



Catherine Eisbroughs
« When she spoke again it was in the thin, careful and above all brave voice of someone who has pulled themselves together despite overwhelming odds but might let go again at any moment. »


NOM ✢ Eisbroughs. Ce nom n'a aucune signification particulière pour toi, puisque tu n'as jamais vraiment connu ton père. Apparemment, c'était quelqu'un de bien, jusqu'à ce qu'il décide qu'il ne pouvait pas supporter sa paternité et qu'il fuit la maison familiale lorsque tu avais deux ans. Tu as pourtant toujours gardé son nom, plus par paresse que par véritable envie, mais tu l'aimes bien. Il est original, il a une belle sonorité, et cela te rappelle que les gens finiront toujours par te quitter, quoiqu'ils disent. Ça met les choses en perspective.  PRÉNOM ✢ Catherine, mais tu préfères Cathy. Catherine, c'est trop sérieux pour toi. Ta mère ne l'utilisait que pour te gronder ou pour te présenter à ses collègues de travail et cette impression que ton nom au complet avec une signification plus sévère t'es donc restée. Pourtant, tu le trouves très beau, important. Mais Cathy te ressemble plus, à ton avis, et tous tes proches t'appellent comme cela. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✢ 12 avril 1987 à Stonehaven. Tu as toujours vécu dans cette petite ville que tu considères comme ta maison depuis que tu es née. Tu connais ses habitants, tu as depuis le temps pris tes marques, tu sais où se trouvent les meilleurs cafés et les plus belles boutiques. Tu connais la ville comme le fond de ta poche et tu l'adores, malgré tout ce qu'on raconte à son sujet et tout ce que tu peux observer toi-même. ÂGE ✢ 27 ans. Un bel âge, apparemment. Celui où tu devrais commencer à avoir une famille, celui où on commence à te demander ce que tu fais en étant encore célibataire. Peut-être ne le serais-tu pas si ton ex petit ami n'était pas décédé, ce qui n'aide pas vraiment lorsqu'on veut former une famille, quoiqu'en dise Twilight. PROFESSION ✢ Pharmacienne. Tu adores ton travail parce que tout le monde te connait. Certains de tes clients t'ont vue grandir, d'autres te connaissent de vue, et tous te font confiance. SITUATION MATRIMONIALE ✢ Récemment célibataire. Ton dernier petit ami est mort dans un tragique accident d'automobile. Vous veniez juste de vous séparer, mais tu l'aimais encore et, même si ça n'avait pas été le cas, tu n'aurais souhaité ça à personne. ORIENTATION SEXUELLE ✢ Hétérosexuelle. SITUATION FINANCIÈRE ✢ Relativement aisée. Ton métier te rapporte assez d'argent pour te permettre de vivre comme tu le souhaites (sans dépasser les bornes, évidemment, mais tu n'as jamais été une fille extravagante.) EN UNE CHANSON ✢ Silhouettes, Of Monsters and Men GROUPE ✢ Buried in Water.


QUALITÉS ET DÉFAUTS ✢ Compatissante + Respectueuse + Compréhensive + Douce + Intelligente + Complexe + Équilibrée + Secrète + Sensible + Déterminée + Adorable + Protectrice + Loyale + Têtue + Maladroite.

À SAVOIR ✢ Ton dernier petit ami est mort dans un accident d’automobile. Ça t’a dévastée parce que tu l’aimais encore même s’il s'était avéré un escroc. Sur le coup, tu as fait comme tout humain normalement constitué aurait fait : tu es allée pleurer dans les bras de ton meilleur ami, Maddox. Sans savoir, évidemment, qu’il était la cause de tes larmes. + Tu chantes relativement bien, même s’il n’y a malheureusement personne pour t’écouter. + Tu es probablement la fille qui a réussi à faire foirer le plus de relations pour des raisons idiotes. + Tu te serais sûrement écroulée si Maddox n’avait pas été là pour te supporter à la mort de ton ex. + Tu as vu assez d’hommes sortir de ta vie pour être convaincue qu’ils finiront tous par le faire, un jour ou l’autre. + Tu n'es pas tout à fait claustrophobe, mais les espaces clos ne te plaisent pas particulièrement. + Tu es stérile et tu ne pourras donc jamais avoir d'enfants. Tu as été dévastée par la nouvelle, que tu as appris il y a environ cinq ans. Ton coeur se serre encore lorsque tu vois des gamins jouer dans un parc ou un parent en train de consoler son enfant qui s'est écorché le genou.

PETITS SECRETS ✢ Depuis que tu es allé un week-end à Paris, tu rêves de voyager partout en Europe et peut-être même d’aller en Amérique. Tu adores ta ville, là n’est pas le problème (même s’il s’y passe de drôles de trucs dont personne ne parle trop) mais tu aimerais voir autre chose, être dépaysée, voir ce que le monde a à t’offrir. Depuis que tu sais que tu ne pourras jamais fonder une famille sans adopter du moins, c'est le seul rêve qu'il te reste.

Tu es persuadée que, depuis l’incident du chat, Maddox n’a plus jamais eu de problème du genre. Tu crois que son psychologue l’a beaucoup aidé et qu’il se porte beaucoup mieux maintenant. Tu ne l’as plus jamais vu faire de « crise » et tu as donc réussi à te convaincre qu’il n’y a plus de raison de s’inquiéter.

« Catherine Eisbroughs ?
- Oui, c’est moi.
- Madame, je pense que ce serait mieux si nous allions nous asseoir un moment. Silence. C’est à propos de Jayden. »

Lorsque tu es allée t’asseoir, au fond, tu le savais déjà. Aucun officier ne prendrait le temps d’aller s’asseoir dans ton salon pour te donner une bonne nouvelle. Ton cerveau prend néanmoins le temps d’analyser les détails inutiles. Comment se fait-il que tu sois avertie ainsi ? Ils ont probablement trouvé son téléphone, et s’il fonctionnait encore, ils sont allés voir ses contacts pour savoir à qui annoncer la mauvaise nouvelle qui suivra forcément. Tu te rappelles, tu ne sais trop pourquoi, qu’il avait changé ton nom de famille pour le sien sur son téléphone, juste pour rire, ce qui expliquerait pourquoi tu étais traitée comme de la famille proche. C’était fascinant comme ton cerveau refusait d’encaisser la nouvelle que le policier allait t’annoncer. Surtout qu’à ce point, pendant qu’on est là à discuter de détails inutiles, tu te fais la remarque que cela voulait donc dire que tu portais toujours son nom de famille dans le téléphone. Et c’est probablement cette petite pensée qui rendit le tout tellement plus difficile.

Il t'aimait encore. Il t'avait toujours aimée.

Et tu l'aimais encore, toi aussi, malgré tout ce qu'il avait bien pu faire. Tu ne comprenais pas son geste, tu ne comprenais pas les motivations profondes qui avaient fait qu'il s'était levé un matin et avait décidé de se mettre à voler l'argent des autres, mais tu aimais l'homme qui avait partagé ta vie durant tout ce temps. Et tu n'avais jamais eu le temps de lui dire tout cela, que tu l'aimais malgré tout, que tu étais désolée, que tu aurais voulu que cela se termine autrement. Tu aurais voulu lui dire au revoir, le serrer une dernière fois dans tes bras et sentir son doux parfum.

La vie peut être vraiment cruelle lorsqu'elle décide de s'obstiner.

GENEVIÈVE ✢ Bonjour, en fait j'ai pas de pseudo alors ça c'est mon prénom (au cas où vous auriez pas capté) et je suis Québécoise (donc je verrai les plus insomniaques d'entre vous What a Face) eeeet je vous aime. En fait j'ai jamais vraiment su comment me présenter.  Arrow J'ai 16 ans, j'ai hâte à l'été parce qu'on gèle au Québec en ce moment  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2920115528 et puis j'aime bien manger, c'est mon activité préférée  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  960485486 sinon j'aime écouter des films et chanter des chansons cul-cul à tue-tête dans ma maison, ma famille m'adore  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1334220730 Sinon, avec la permission de Hans-Maddox je vous présente Cathy 2.0, revue et améliorée pour vivre sans Hans (ça a été dur mais quand même) What a Face♥️

✢ veux-tu avoir l'exclusivité du prénom ? (X) oui () non ✢  veux-tu avoir l'exclusivité du nom ? (X) oui () non ✢ qui est sur ton avatar ? Emmy Rossum ✢ à qui dois-tu tes images ? mckeymilkovich.tumblr ✢ un petit mot pour finir ? “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  687709546
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 5:30



story of my life.
« It doesn't stop being magic just because you know how it works. »


« Mais alors qu’est-ce que t’as fait ?
- J’ai hurlé.
- Et puis ?
- Et puis je l’ai insulté, je crois.
- Tu es triste ?
- Non. Il a tué un chat. »

Ta sœur te regarde avec un semblant de compassion dans les yeux. Elle se lève, elle vient te rejoindre sur ton lit à toi et elle te serre dans ses bras. Toi, tu ne sais pas trop quoi penser de tout ça. Tu pensais qu’il était gentil. Tu avais l’impression qu’il ne ferait pas de mal à une mouche. Pourtant, les miaulements pathétiques de ce pauvre chat et le sang qui s’écoulait de ses blessures démontraient le contraire. Tu avais hurlé. Tu avais eu peur. Tu l’avais insulté, aussi. Tu avais pleuré. Que pouvais-tu bien faire d’autre ? Ton meilleur ami avait tué un chat parce qu’il l’avait griffé. Tu adorais les chats. Puis c’était un acte si violent, si vil, si… Mal. Diabolique. Tu étais partie en courant te réfugier dans les bras de ta mère sans vouloir lui dire ce qu’il s’était passé. Tu ne voulais pas qu’elle sache que ton meilleur ami était un monstre. Alors, tu l’avais raconté à ta sœur, la seule personne au monde à qui tu pouvais confier n’importe quoi. Elle ne te jugerait pas, elle. Elle n’irait pas disputer Maddox, elle. Peut-être qu’elle pourrait tarir tes larmes, même si tu étais inconsolable. Alors, lorsqu’Emma est venue te serrer dans ses bras, tu as pleuré longtemps. Pour le pauvre chat violemment assassiné. Pour votre amitié déchue. Pour toi. Mais pas pour lui. Il n’aurait pas dû tuer ce chat. Tu lui en voulais d’avoir gâché votre amitié pour une vengeance personnelle sur un chat qui n’avait rien demandé, sinon qu’on le laisse tranquille.

Tu as passé un bon moment à le fuir et à faire semblant que tu ne le voyais plus. Tu changeais systématiquement de côté dès que tu le voyais arriver et tu baissais les yeux pour ne pas avoir à croiser les siens, parce que tu savais que tu finirais par craquer. Et tu ne voulais pas être amie avec un meurtrier de chat. Un assassin. Cela t’a beaucoup coûté de l’ignorer et de refuser de lui parler. En tant que petite fille, tenir autant à ses principes moraux était rare. Tu aurais dû oublier tout cela et revenir vers Maddox, votre amitié étant plus importante que le reste. Pourtant, tu n’y arrivais pas. Dès que tu le voyais, tu ne pouvais t’enlever de la tête les gémissements pathétiques de ce pauvre chat agonisant sur le seul et les larmes te montaient aux yeux. Tu t’étais depuis longtemps convaincu que tu pleurais à cause de l’atrocité du geste et de la mort du chat,  et pas parce que Maddox te manquait. Il ne pouvait pas te manquer. C’était un meurtrier. Il ne pouvait pas te manquer. N’est-ce pas ?

Tu n’aurais su dire quand, mais il a fini par t’acheter et te donner des fleurs. Un beau gros bouquet de belles fleurs rouges, roses, orange et jaunes. Cela t’a pris un moment, mais tu as fini par pardonner à Maddox d’avoir tué ce chat. En fait, tu as gobé toutes les excuses qu’il a bien pu te fournir : il se défendait, ce n’était pas voulu, il s’en est voulu à mort après, il le regrette tellement, et puis tu lui manquais. C’étaient les mots que tu voulais entendre, ceux qui apaiseraient ta conscience et te permettraient de retrouver ton ami. Tu lui as fait promettre de ne jamais recommencer. Il a promis. Alors, tu lui as souris et vous êtes redevenus amis.

Tu es toujours restée à Stonehaven avec ta sœur, ta mère et ton beau-père, ton père ayant disparu du tableau familial depuis plusieurs années déjà. Tu as grandis de façon tout à fait normale, en jouant avec tes amis et en discutant de tout et de rien avec ta sœur. La seule différence entre toi et tous les autres enfants, c’est que toi, tu entretenais une correspondance. Cela te rendait très fière, à l’époque. Tu écrivais des lettres à Maddox et tu les envoyais par la poste, pour attendre ensuite impatiemment sa réponse. Tu en recevais toujours une, avec des fleurs en prime de temps à autre. Tu les mettais toujours dans ta chambre en s’assurant qu’elles avaient assez d’eau et assez de soleil. C’était la seule parcelle de Maddox que tu pouvais avoir avec toi, en plus de ses lettres, alors tu en prenais soin, jusqu’à ce qu’il te renvoie d’autres fleurs. Tu aurais voulu le voir, mais tu savais que ce n’était pas souvent possible, alors tu te devrais te contenter de ses mots, de son écriture et de ses fleurs.

Tu as décidé que tu voulais devenir pharmacienne. Tu avais déjà quelques bases d’infirmière parce que l’une des amies de ta sœur suivait son cours et, à ta demande, t’avais expliqué les rudiments. Tu savais donc recoudre des plaies, faire de nombreux bandages et t’occuper du patient. Et tu adorais ça. Tu n’as jamais voulu sauver le monde ou quoique ce soit que les étudiants en santé pensent ces temps-ci. Tu voulais juste aider les gens de ta ville sur une base très quotidienne. Tu voulais être là pour eux lorsqu’ils avaient besoin de toi. Habitante de Stonehaven depuis ta naissance, tu connaissais déjà beaucoup de gens et tu avais presque ta clientèle déjà formée avant même de commencer tes études. C’était rassurant de voir que les gens te faisaient autant confiance.

Lorsque tu as été acceptée dans ton programme, tu t’es lancée à corps et âme dans tes études. Tu adorais cela. Les cours étaient fascinants, les gens étaient toujours gentils et avenants et tu étais passionnée. Tu t’es fait plusieurs bons amis pendant ce temps-là, et ce sont probablement les lettres les plus joyeuses et les plus optimistes que tu as envoyé à Maddox de toute ta vie. Certes, c’était difficile et tu travaillais très fort, mais tu savais que tout cela n’était pas en vain et que cela allait te mener à quelque part. Tu allais devenir pharmacienne. C’était merveilleux.

Emma, quant à elle, faisait des études pour être avocate. Plus articulée et axée vers la justice que toi, ta sœur s’exprimait très bien et tu étais certaine qu’elle ferait une excellente avocate. Vous faisiez à toutes les deux un beau duo et vous vous parliez mutuellement de vos études, des cas que vous aviez vus et de la façon dont vous voyiez votre futur. Elle comptait elle aussi rester à Stonehaven, aussi attachée que toi à sa ville natale. Ta mère et son nouveau conjoint, quant à eux, sont partis à Édimbourg rejoindre leurs frères et sœurs. Vous n’aviez plus besoin d’eux ici. Tu leur parlais néanmoins fréquemment, puisque vous vous entendiez très bien.

Et, secrètement, il y avait une part de ta décision de rester à Stonehaven qui avait un lien très précis avec un jeune homme du même âge que toi qui t’envoyais des lettres et des fleurs. Maddox. Tu espérais qu’il déciderait un jour de revenir ici, lui aussi, et que vous pourriez vous voir beaucoup plus souvent. Il te manquait toujours autant, et parfois les cartes postales, aussi belles et sympathiques soient-elles, n’étaient pas assez.

∇∇∇

Il travaillait à quelque part dans les finances. Tu ne lui avais jamais vraiment demandé où, ni de t’expliquer ce qu’il faisait exactement, parce que cela ne t’intéressait pas. Il l’avait fait, une fois, et tu te rappelles que tu n’avais rien suivi de la conversation. Depuis, à part vous dire comment vos journées s’étaient passées, vous aviez un accord tacite qui vous empêchait mutuellement de vous parler des problèmes compliqués et spécifiques à votre travail, en vous disant que vous aviez des collègues pour vous écouter. Tu l’avais rencontré à ton travail, pendant que tu étais en stage, alors qu’il venait chercher des médicaments pour contrôler son reflux. Il est revenu deux fois après cela : la première pour acheter des aspirines, et l’autre pour t’inviter à dîner. Il était charmant, cultivé, avait des yeux captivants et un sourire qui te faisait fondre. Tu n’avais absolument rien à perdre à aller dîner avec lui, surtout compte tenu qu’il n’était pas officiellement l’un de tes patients. Il s’appelait Jayden, il avait habité toute sa vie aux États-Unis et il venait juste d’emménager en Écosse. Il avait l’air parfait, et c’est probablement cela qui aurait dû te mettre la puce à l’oreille.

Tu aurais dû refuser poliment cette invitation à dîner et continuer tranquillement ta vie de célibataire.

Pourtant, tu avais accepté, et le dîner s’est tellement bien passé que vous vous êtes revus plusieurs fois par après. Que ce soit pour voir les films les plus ringards du monde ou pour aller boire un verre, vous avez eu amplement le temps de faire connaissance et de vous rendre compte que vous vous entendiez parfaitement bien. Il avait beaucoup d’humour et avait toujours le mot pour te faire rire, et vous aviez un bon nombre de goûts communs. Vous vouliez tous les deux voyager, notamment en Europe – lui avait eu la chance de voir un peu de l’Amérique – et il adorait lui aussi la musique. Vous êtes allés voir de nombreux spectacles ensemble, critiquant tel groupe et vous pâmant devant tel autre. C’était trop beau pour être vrai, mais tu ne voyais rien. Tu ne voyais que l’homme parfait qui te portait un intérêt indéniable, tu ne voyais que Jayden que tu avais appris à connaître dans la dernière année et qui te plaisait de plus en plus. Tu étais jeune, alors, probablement un peu naïve aussi, mais tu te sentais vivante et tu étais enivrée de toutes les possibilités qui s’offraient désormais à vous.

Tu n’as rien vu venir.

Cela a commencé lentement, comme tout le reste. Vous gagniez tous les deux très bien votre vie, mais vous étiez encore jeunes et il n’était pas dans les hautes sphères de la finance, encore, et même si tu ne pouvais pas te plaindre de votre qualité de vie, tu savais que vous deviez contrôler votre budget. Sans vous priver de quoique ce soit, vous deviez néanmoins faire attention à ne pas dépenser de façon inconsidérée. Cela a commencé avec des bijoux. De temps en temps, tu revenais à la maison et il t’accueillait avec ses cadeaux. Tu ne pouvais pas t’empêcher de lui faire remarquer que ces dépenses n’étaient pas nécessaires, surtout que tu voyais bien que c’étaient des bijoux de qualité. Bien sûr, ils étaient magnifiques et tu étais touchée de l’attention, mais tu étais de nature à t’inquiéter de tout, à faire attention à ce genre de détails. Mais alors, lorsque tu ouvrais la bouche pour émettre une objection, il prenait ton visage entre ses mains et t’embrassait avec une extrême douceur, pour ensuite te regarder dans les yeux et déclarer, ses yeux d’un bleu si profond que tu aurais pu t’y noyer : « Je t’aime. » Après la phase bijoux luxueux, il est arrivé au beau milieu de la semaine avec deux billets d’avion pour aller passer un week-end à Paris. Tu étais folle de joie, mais ton côté pragmatique revenait bien vite : aviez-vous vraiment les moyens d’y aller ? Jayden t’assurait que oui, qu’il couvrait toutes les dépenses et que tu n’avais aucun soucis à te faire. Peut-être à cause de l’excitation que tu avais à l’idée de ce week-end ou de la confiance aveugle que tu lui portais, tu taisais encore tes suspicions.

Tu étais convaincue que cela allait être magique.

Tu n’avais jamais pris l’avion avant cela. C’est à ce moment-là que tu as découvert que tu étais légèrement claustrophobe. Tu avais bien remarqué que les ascenseurs n’étaient pas tes endroits préférés, mais tu étais tout à fait capable de gérer ce stress. L’avion, c’était différent. Tu n’avais pas de place, et vous étiez dans une petite boîte lancée à une vitesse hallucinante dans les cieux sans aucune possibilité de sortie. Là était le problème. Tu étais prise au piège, tu manquais d’air, tu avais de la misère à respirer. Certes, le ciel était là, mais tu ne le voyais pas vraiment, tu n’arrivais pas à l’imaginer, ton cœur battait fort à tes tempes et t’empêchait de penser clairement. Jayden a alors pris ta main, l’a serrée très fort dans la sienne et t’as regardée très sérieusement. « Décris-moi le ciel, Cathy. » Tu es alors partie d’un rire nerveux, tu t’en rappelles très bien, parce que tu trouvais cela complètement ridicule. Le ciel, il était juste là, à côté d’eux, s’il voulait le voir. Tu n’avais pas besoin de le lui décrire, et tu avais définitivement d’autres problèmes que de satisfaire ses étranges demandes. Mais il insistait, si bien que tu as fini par craquer. « Le ciel. Silence. Tu as regardé ses yeux bleus en tentant de t’imaginer le ciel, qui devait probablement avoir leur couleur. Le ciel est d’un bleu si pur et si beau qu’il me fait rêver. Il est infini, grand et si vaste qu’on n’en voit pas la fin. Mais le ciel n’est pas toujours calme. Il n’est pas toujours d’un bleu aussi beau que tes yeux. Parfois, il s’assombrit, il se déchaîne et fait tomber des trombes d’eau sur la terre. Et lorsque cette pluie et le soleil éclatant des plus belles journées d’été se couplent, on peut observer des arcs-en-ciel, et ça, c’est magnifique. » Et tu as continué, encore et toujours, de lui décrire le ciel, les nuages, sa beauté et ses caprices. Il te regardait toujours aussi intensément, et ton cœur s’est calmé, la pression que tu ressentais se relâcha lentement et tu te sentis beaucoup mieux. Dès que tu te sentais chavirer de nouveau, tu regardais ses yeux et tu t’imaginais le ciel comme tu l’avais décris, et tu te sentais toujours mieux. Il avait réussi à t’aider à vaincre ta claustrophobie.

Tu n’as jamais été aussi heureuse que pendant votre week-end à Paris. Vous êtes allés voir la tour Eiffel, vous avez marché dans les rues en vous tenant la main autant au soleil que sous la pluie, vous êtes allés mangés dans les plus beaux cafés du quartier où vous étiez logés et vous êtes allés au Louvre. Trois jours – un long week-end – ce n’était définitivement pas assez pour voir toutes les merveilles de Paris, mais cela te donnait envie de voyager plus, d’en voir encore, de tout découvrir. Tu n’as rien à redire sur ce week-end de rêve. C’est après que tout a dégénéré.

Le doute est probablement l’une des pires choses qui peuvent nous arriver. Il s’immisce en vous, prend possession de chacune de vos pensées et vous pourrit la vie. Tu ne te rappelles même plus comment s’est arrivé, comment le doute est entré dans ta vie. Probablement en entendant une discussion entre collègues qui parlait de leur cousine qui venait d’apprendre qu’elle était stérile alors qu’elle et son mari tentaient désespérément d’avoir un enfant depuis quelques mois. L’idée s’est frayé un chemin en toi pendant les semaines d’après, assez pour que tu décides d’aller te faire tester. Jayden et toi ne vouliez pas d’enfants maintenant, mais tu savais qu’un jour, tu en voudrais, que ce soit avec lui ou avec un autre. Tu étais sûre que tu te faisais des idées, que le test ne ferait que te rassurer, et c’est ce que tu avais expliqué au médecin : tu n’avais aucune raison de penser que tu étais stérile et que quelque chose n’allait pas avec tes organes génitaux, mais tu voulais juste être sûre. Au cas où. Tu te trouvais complètement stupide, mais voilà, tu étais rendue à l’hôpital, alors tu voulais ta réponse. Et celle-ci fut aussi surprenante que dévastatrice : tu ne pourrais pas avoir d’enfants. Tu n’as pas compris l’explication du pourquoi, mais cela n’avait aucune importance. Tu avais toujours voulu avoir des enfants, une famille. Tu t’étais toujours dit que si tu annonçais quoique ce soit à Jayden par rapport à cela, ce serait je suis enceinte et non pas je suis stérile.

Tu n’as pas été capable de te résoudre à lui dire durant plusieurs jours, trop sous le choc pour lui avouer la nouvelle. Il voyait bien que quelque chose n’allait pas, et il a bien essayé de le savoir à force de mots doux, de déjeuners au lit et de caresses, mais tu n’as pas cédé. Il t’a finalement laissée tranquille et tu as fini de digérer la nouvelle. C’était vraiment étrange. Ce n’était pas le genre d’informations que tu pensais avoir à 23 ans. Tu étais si jeune, tu avais la vie devant toi et tu aurais eu en théorie toutes les chances de ton côté pour être maman et fournir à ton enfant un foyer stable et aimant. Sauf que tu ne pourrais jamais concevoir. Jamais. C’était quand même plutôt radical. Tu pensais toujours que tu aurais eu le choix, que tu aurais eu cette conversation avec ton conjoint ou ton mari, que vous auriez décidé ensemble d’en avoir. Mais non. La nature avait décidé pour toi, et cela t’enrageait.

Tu ne savais pas que Jayden avait aussi une nouvelle à t’annoncer, et pas des meilleures non plus.

Lorsque tu t’es finalement décidée à cracher le morceau, vous vous êtes assis face à face dans la cuisine, et tu t’es lancée. « Jayden, je suis stérile. » Tu as guetté sa réaction avec beaucoup d’appréhension, incertaine de ce qu’il allait bien pouvoir dire dans un moment pareil. Tu avais tout imaginé dans ta tête pendant les derniers jours, des scénarios les plus catastrophiques aux plus idéaux. Sauf que ce qui s’est vraiment passé était bien loin de tout ce que tu avais pu imaginer. « Catherine, je suis accusé de détournement de fonds. »

Tu t’en doutais peut-être, au plus profond de toi. Tu savais bien que l’argent qu’il dépensait ne venait pas de nulle part, qu’il y avait probablement quelque chose en-dessous de cela. Tu avais réussi à te persuader que ce n’était qu’une promotion et qu’il n’y avait rien d’illégal à gagner plus d’argent. Tu t’étais convaincue qu’il ne pourrait pas te mentir et tu pensais qu’il ne pourrait jamais faire de mal à une mouche. « Et… C’est vrai ? » Tu devais savoir. Tu connaissais déjà la réponse, c’était la réponse à tous tes doutes depuis plusieurs semaines déjà. Mais tu voulais l’entendre de sa bouche, juste pour être sûre que tu ne t’imaginais rien. Soupir de sa part. « Oui, c’est vrai. » Tu as alors fermé les yeux, incapable d’en prendre plus. « Mais pourquoi ? » Tu as rouvert les yeux, l’observant du coin de l’œil, ayant de plus en plus de difficulté à le regarder dans les yeux et à reconnaître l’homme que tu as aimé, l’homme que tu aimes encore. « Mais pour nous, Cathy, je… Je voulais juste qu’on puisse voyager, qu’on puisse réaliser nos rêves, qu’on ait de l’argent pour fonder notre famille, je ne pensais pas que… Je t’en prie, Cathy, regarde-moi ! » Tu avais la tête dans les mains et un sanglot silencieux secouait tes épaules. Détournement de fonds. Lui. Détournement de fonds. Jayden avait volé de l’argent aux autres pour que vous puissiez avoir votre famille. « Sauf qu’il n’est plus vraiment question de famille, n’est-ce pas ? »

Tu étais stérile et ton conjoint était un escroc.
Ta vie ne pouvait pas vraiment s’empirer, pensais-tu alors de façon très naïve.

Tu as fait tes bagages pour déménager. Tu ne pouvais pas te résoudre à la dénoncer – tout cela serait découvert bien assez tôt, tu en étais convaincue – mais tu ne pouvais pas rester dans la même maison que lui, parce qu’à chaque fois que tu posais les yeux sur un objet acheté récemment, tu ne pouvais pas t’empêcher de penser qu’il l’avait acheté avec l’argent qu’il avait volé à des familles honnêtes qui, elles, ne pouvaient pas se payer un cinéma maison. Cela te rendait malade. Cela a été un moment atroce, parce que Jayden était toujours dans tes talons, te suppliant de rester, te disant qu’il allait régler tout cela, qu’il allait tout arranger, que si tu partais pour cette question de stérilité ce n’était pas grave, vous pourriez toujours adopter. Tu voulais tellement le croire, mais tu ne pouvais pas laisser tes sentiments obscurcir ton jugement. Si à 25 ans il détournait déjà des fonds, il ne pourrait bientôt plus se passer du pouvoir et de l’argent et toute cette situation s’empirerait bientôt. Alors, tu as appelé Maddox, ton meilleur ami, et tu lui as tout raconté, parce que tu ne savais pas vraiment quoi faire d’autre. Tu as dit que tu déménageais de chez Jayden, que tu allais te trouver un autre appartement, que tu allais lui envoyer l’adresse par courriel pour qu’il vienne te visiter bientôt et surtout pour qu’il puisse appeler et envoyer ses lettres à la bonne adresse.

Deux semaines plus tard, Jayden mourrait dans un tragique accident d’auto.

Tu ne t’es jamais doutée que Maddox était derrière tout cela. En fait, tu pensais que c’était peut-être un suicide. Jayden avait été malheureux depuis la minute où tu avais quitté sa maison. Un de ses collègues avait fini par le dénoncer, comme tu l’avais prédis, et il était empêtré dans des procédés judiciaires jusqu’au cou. Tu te demandais quand même comment un homme si bien était tombé si bas. Était-ce réellement pour que vous puissiez réaliser vos rêves, ou est-ce que l’attraction du pouvoir et de l’argent avaient finalement fait une nouvelle victime ? Tu ne le sauras jamais.

Quatre ans plus tard, tu es désormais officiellement pharmacienne et tu travailles à plein temps. Tu t’es tranquillement remise de toute cette histoire en pleurant allégrement sur l’épaule de Maddox. Malgré tout, tu aimais encore Jayden, et même si le quitter avait été la bonne solution, tu t’en voulais de ne pas avoir pu te réconcilier avec lui avant sa mort tragique.

Ou lui dire au revoir.

Tu t’imagines encore le ciel lorsque tu prends l’ascenseur ou lorsque tu te retrouves enfermée dans une petite pièce, et lorsque tu fermes les yeux, tu vois encore ses yeux bleus si beaux et si changeants qui te faisaient sentir toute chose.
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Terrence Everett

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 8:48

waiiiiii une copine pour les insomniiiiies ♥ bienvenue ici, amoureuse de Madd ! ♥

*calin bouclé*
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D. Woody Knox

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 11:18

C'EST PAS MON AMOUREUSE “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 Mad has no lover. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3098535923 Cey ma BFF, hein Cathy-lovely ? “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 ...

REBIENVENUE MA BELLE. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1694424826 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1694424826 J'ai hâte de lire la suite de ta fiche, owi owi. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3067953961 Et qu'on se fasse plein de RPs. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055 Si tu as besoin de quoi que ce soit ... Hésite pas. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3067953961 Même si tu connais la maison. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2204614361
LOOOOOOVE. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1503109733 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1503109733
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Jack W. Scarborough

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 11:54

Re-bienvenueee !!  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2038268229 

Bon courage pour la fin de ta fiche, déjà bien entamée  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  93879916 
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Nicol R. Dunegan

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 14:13

Reubienvenueeeeeee  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 
Jolie pharmacienne, ça va me donner envie d'être malade  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2862505695 
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Catherine Eisbroughs

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 16:20


    Terrence : On dormira pas ensemble  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  687709546  Ça va être merveilleux  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 
    Maddox : Mais ouiiii, on est des BFF  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263   (même si tu as tué mon ex, mais chut Arrow) Moi aussi j'ai hâte de RP  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  4261037686   Meurchi What a Face
    Jack : Lee Pace   “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  972592174  Merci ♥️
    Nicol : Owiiii, viens me voir à toute heure du jour et de la nuit   “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1398380916  
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Phoenix-L. Earnshaw

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 17:45

BON RETOUR  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263 
Rebienvenue  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1533408328 Nous faudra un lien avec Nixou “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  960485486
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptySam 25 Jan 2014 - 17:49

    Avec plaisir en plus  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 Merci  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3067953961 
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Timothy L. Carrington

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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptyLun 27 Jan 2014 - 17:01

“Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  687709546 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  687709546 

rebienvenue par iciiiii  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2436867179 
si tu as la moindre question, n'hésite pas, même si tu sais comment ça se passe ici “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2238003959 en tout cas, je te souhaite bon courage pour le reste de ta fiche et encore rebienvenue parmi nous “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3002687872 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3002687872
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptyLun 27 Jan 2014 - 18:01

Catherine Eisbroughs a écrit:
Maddox : Mais ouiiii, on est des BFF   “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263  (même si tu as tué mon ex, mais chut Arrow) Moi aussi j'ai hâte de RP  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  4261037686   Meurchi What a Face[/list]

“Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055 Ce sont des choses qu'on ne dit pas, d'accord. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2204614361 Je l'ai même pas fait exprès. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3098535923 ( ... What a Face )
Hâte de lire la suite, anyway. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1503109733
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptyDim 2 Fév 2014 - 6:58

    Merci Timothy  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1694424826 

    Maddox, mais non t'as pas fait exprès What a Face J'ai terminé ma fiche ( “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 ) et y'a des trucs que j'ai changé dans le début notamment (pas dans l'histoire, ça tu peux sauter aux p'tits triangles  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2683329129 ) alors bref tu regarderas ça  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  4261037686 
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptyDim 2 Fév 2014 - 9:33

Omg mon coeur comment qu'il est tout serré pour la jolie petite Cathy. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1533408328 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1533408328 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1533408328 C'EST INHUMAIN CE QUE TU LUI AS FAIT. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3203037728 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1550255235
Mais damn j'adore ton histoire, et toujours autant ta plume. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1290023564 Je suis contente que tu gardes la belle Cathy, même remodelée. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  960485486
Par contre, Maddox est revenu vivre à Stonehaven assez vite, hein, il avait 20 ans je crois quand il est revenu, donc ils ont vite arrêté de s'envoyer des lettres à mon avis “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055 Mais comme il a beaucoup voyagé même pendant ses études, il aura continué à lui écrire de toute manière. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  960485486 Tu pourras changer ce détail du coup si tu veux “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055

Bref c'est parfait “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 Je te valide donc. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345
Tu peux filer jouer, tu connais déjà la maison “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3566303055 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1694424826

(PS : aucun regret pour la mort de Jayden, désolée. Il avait qu'à pas se montrer aussi insensible quand elle a annoncé qu'elle était stérile, il est trop égoïste. “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3098535923 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3098535923 “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1550255235)


congrats !

Bah ouais, si tu vois ça, c'est que bien évidemment tu as rejoint nos rangs ! Bref, pour t'aider à faire tes premiers pas ailleurs sur le forum, si tu as la grosse flemme de chercher les liens, j'vais t'faire une petite visite guidée. T'es prêt ? Tu verras, c'est pas bien compliqué.

Pour commencer, je te conseille fortement de passer du côté des DEMANDES, histoire de te trouver un logement et un boulot, ça peut servir. N'hésite pas à foncer te procurer un TÉLÉPHONE, et si tu as un peu de mal à trouver des LIENS ou des SUUJETS, fonce en chercher aux RECHERCHES, elles sont là pour ça ! Et la détente ? Le FLOOD n'attend que toi. Ah ouais, et n'oublie pas de VOTER POUR LE FORUM ! Et surtout, SURTOUT, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas !

Sur ce, je te souhaite bon jeu parmi nous ! “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  3002687872
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  EmptyDim 2 Fév 2014 - 16:20

    Hahahaha merci  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  1647550345 Je changerai quand j'aurai moins la flemme  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2683329129 Mais je prends note  “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  960485486 

     “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  2325365263 
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MessageSujet: Re: “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”    “Of course I'm sane, when trees start talking to me, I don't talk back.”  Empty

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