If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby
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Lullaby E. Desmond
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Sujet: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Mar 18 Fév 2014 - 21:17
lullaby enora desmond « Le corps humain est un royaume où chaque organe veut être le roi. » Grand Corps Malade.
NOM ✢ desmond PRÉNOM ✢ lullaby enora DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✢ 6 juin, Utah (USA) ÂGE ✢ 26 ans PROFESSION ✢ reporter photographe (officiellement), trafiquante d'organes (officieusement) SITUATION MATRIMONIALE ✢ célibataire ORIENTATION SEXUELLE ✢ hétérosexuelle SITUATION FINANCIÈRE ✢ les organes sur le marché noir, ça paye plutôt bien EN UNE CHANSON ✢Stand by me, Ki TheoryGROUPE ✢ paper ship
À SAVOIR ✢ Picole moins que Shane • Accro à la caféine et à la nicotine • Porte un éternel chapeau de type Borsalino • Adepte de tours de passe-passe • Peut citer l'oeuvre de n'importe quel philosophe sans se tromper •• Nourrit une véritable obsession pour le chiffre 6 • Peut perdre les pédales à cause de ça • En a un tatoué sur la nuque • Visage d'ange, on lui donnerait le bon Dieu sans confession • Ne baise qu'avec les hommes qui arrivent vraiment à l'intéresser • A la manie de fredonner un air, toujours le même • Passionnée de photo, prend des centaines de clichés tous les jours • Pianote toujours sur les surfaces lisses • Reste toujours impassible, même lorsqu'elle découpe un corps • Est la plus mature du tandem • Mais également la plus désabusée • Se sent continuellement vide
PETITS SECRETS ✢ Lullaby et Shane, sa demi-soeur ne sont pas les gentilles reporters au grand coeur dont elles ont pourtant l'air. La plume acérée de la brune et les clichés authentiques de la blonde ne sont qu'une façade pour cacher leurs réelles activités : le trafic d'organes et surtout, leur obtention. Le deal est simple : soit vous leur donnez une cible, soit vous exprimez simplement un besoin. Elles se débrouillent pour obtenir ce dont vous avez besoin. L'approche peut être sensuelle (cf. Shane) ou sympathique (cf. Lullaby) mais cela se finit toujours sur une surface plane et dure, sous le scalpel de Lulla puis un peu à l'écart, avec les explosifs de Shane. La bouillie restante est dispersée dans des buissons et autres massifs de fleurs (rien ne se perd, tout se transforme, le cycle de la vie, tout ce genre de choses) et l'organe va à son acheteur. Ce n'est pas compliqué. Et leurs déplacements fréquents les aident énormément.
✢ Les morts reviennent à la vie, par ici. Enfin il paraît. D'ailleurs t'en penses quoi ? cela me rend curieuse plutôt qu'autre chose et soulèverait un nombre important de questions si tel était vraiment le cas. la vie aurait-elle encore l'importance qu'elle semble avoir ? qu'y a-t-il de l'autre côté ? peuvent-ils y répondre ? comment est-ce possible ? et surtout ...si je mettais la main sur l'un de ces revenants, la tentation de l'ouvrir pour comprendre serait sans le moindre doute irrésistible.
✢ Et ta vie, elle te plaît ? voilà une questions étrange. plaire. je ne l'exprimerais pas comme ça. disons qu'elle me satisfait pour le moment telle qu'elle est. shane et moi allons nous retirer quelques temps du marché, ce qui me pose problème de temps à autres. l'intérêt que peut avoir pour moi la dissection disparaissant subitement me fait me demander si je parviendrai à trouver un quelconque intérêt au reste. disons que je vais en profiter pour lire. l'argent n'est pas un problème. shane est avec moi. ma vie me convient. quant à me plaire, cette question n'a pas de sens pour moi.
✢ Tu as déjà eu l'occasion de voir un revenant ? Si oui, quelle a été ta réaction ? non. quand nous avons acheté ici, shane et moi, il y a des années, en prévision d'une retraite anticipée éventuelle, nous avons entendu les rumeurs qui m'ont fait hausser intérieurement les épaules. nous avons tué quelqu'un, ici, et il n'est pas revenu d'entre les morts, enfin, pas à ma connaissance. il est vrai que nous n'y avons pas remis les pieds depuis, mais cela me surprendrait fort de le voir sur ses pieds. il ne restait plus grand-chose de lui. comme de tous les autres.
✢ Si on te donnait une chance de rectifier le passé, ou de rattraper une erreur que tu as faite, qu'est-ce que tu voudrais changer ? je ne crois pas avoir fait quoi que ce soit que je regrette. il y a peut-être eu cet homme, une fois, avec lequel j'ai eu de longues conversations avant de décider qu'il valait mieux ne plus lui donner de nouvelles. d'un autre côté, je n'aurais rien pu lui apporter de plus qu'une discussion éclairée, alors changerais-je vraiment les choses ? rien n'est moins certain.
✢ Et si ton heure venait, tu compterais sur Stonehaven pour te donner une seconde chance ? je n'en sais rien. peut-être si je renaissais différente. expérimenter la vie en ressentant les choses est quelque chose que je souhaiterais. mais je ne pense pas que ce passage puisse me donner cette capacité, innée pourtant pour tous les êtres humains. sauf les exceptions, comme nous. je m'attends à mourir de mort violente, un jour ou un autre. alors revenir ? je ne sais.
BLUEFEATHERS. ✢Bonjour à tout, je m'appelle Anaïs, j'ai 23 ans et je suis RP-olique. J'espère que ma sociopathe et moi nous trouverons un nouveau foyer en ces lieux, et nous nous y sentons déjà bien! A très bientôt pour de superbes aventures ...
✢ veux-tu avoir l'exclusivité du prénom ? (X) oui () non ✢ veux-tu avoir l'exclusivité du nom ? (X) oui () non ✢ qui est sur ton avatar ? Florrie Arnold. ✢ à qui dois-tu tes images ? ici ✢ un petit mot pour finir ? Trombone !
Lullaby E. Desmond
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Mar 18 Fév 2014 - 21:18
story of my life. « Ce qu'on cherche à comprendre, souvent, on le tue, car, comme chez l'apprenti médecin, il n'y a pas de véritable connaissance sans dissection. » Martin Pag
Qu’entendez-vous par « vous vous sentez continuellement vide », miss Harper ? Le psychiatre regardait par-dessus l’arrondi de ses lunettes la demoiselle qui lui faisait face. Jambes croisées habillées de jean, borsalino posé sur son genou, elle pianotait sur son bureau. Quand il avait reçu son appel, il n'avait pas eu le choix : depuis deux semaines qu'elle venait, lasse des supplications de ses amis, lui avait-elle dit, elle n'avait pas prononcé un mot lors de leurs séances. Le fait qu'elle l'appelle alors qu'il allait fermer son cabinet l'avait alarmé au point de rester. Et pourtant, maintenant qu'il l'avait en face de lui, il se demandait ce qui avait pu causer cet appel. Elle semblait ... incroyablement calme, bien loin de ceux de ses patients qui appelaient pour ne pas en finir. Ce n’était pas tant son visage d’ange, encadré de boucles blondes qui le lui indiquait que sa façon de le regarder droit dans les yeux. Ses prunelles claires n’avaient à aucun moment tenté d’échapper aux siennes, recherchant au contraire leur contact. Rien de plus que ce que je viens de dire. Chacun de ses mots était mesuré, ses gestes maîtrisés. Voyant qu’il ne poursuivrait pas, la jeune femme enchaîna : Les filles de mon âge en sont à leur quatrième petit copain sérieux ou à leur trentième plan cul, certaines envisagent le mariage. D’autres ont épousé une carrière brillante… Dans quoi travaillez-vous, mademoiselle ? Je suis photographe freelance. Mon associée et moi voyageons beaucoup. Votre petite amie ? Absolument pas, répondit-elle sans la moindre émotion, il s’agit de ma demi-sœur. L’idée avait semblé brièvement l’amuser, avant que l’étincelle qu’il avait cru apercevoir au fond de son regard ne s’évanouisse aussi vite qu’elle était arrivée. Doucement, elle fit jouer sa nuque avant d’étouffer un léger soupir.Vous ne comprenez pas. Le thérapeute ne s’en émut pas, elle n’était pas la première patiente à réagir de la sorte : Essayez de m’expliquer, dans ce cas.
Ses prunelles transparentes, qui s’étaient brièvement détachées de lui, comme par lassitude, revinrent effleurer son visage. Ses lèvres se retroussèrent en un sourire sans joie. Je ne ressens rien, docteur. Rien. Du. Tout. Elle avait décroisé les jambes et son chapeau se trouvait à présent sur le bureau, et ses coudes sur ses cuisses. C’est comme si j’étais morte. Sauf que je suis bel et bien vivante. Je respire, je mange, je marche, je bois, je dors. Enfin, de temps en temps. Il ne pouvait détacher son regard d’elle et elle le savait. Il ne s’attendait pas à cela. Et c’était précisément ce pourquoi elle se trouvait en face de lui, en cette fin de journée de fin de semaine. Le soleil s’était couché, sa secrétaire était parti. Il n'était pas marié, n'avait pas d'enfant. Tout le monde penserait qu'il avait regagné son domicile. Peut-être n’avait-il pas encore compris. Mais cela viendrait rapidement. Pour l’instant, il se contentait de noter que ses cernes bleutées, visibles en l’absence de tout maquillage, le renseignaient assez bien sur sa nature insomniaque sans même qu’elle n’ait besoin de s’étendre dessus. Je n’éprouve pas la peur et me trouve dans l’incompréhension la plus totale quand on hurle au cinéma devant un film d’épouvante. Elle s’était levée et finit par quitter le fauteuil pour faire les cent pas, lentement. Ni l’amour. Ou l’amitié. Et votre sœur ? La question sembla la troubler au point de stopper sa marche, pied en l’air, pour quelques instants avant de lui jeter un long regard. Violet est différente des autres, comme moi. Nous nous comprenons, souvent. Nous nous complétons, surtout. Vous l’aimez donc ? Nouveau suspens. Nouveau silence. Je me soucie d’elle. Je la tolère. J’ai besoin d’elle. Je suppose qu’on peut dire ça comme ça, effectivement.
Elle avait repris ses lents allers retours et il la laissa continuer. Le silence qui s’installait ne le gênait pas, persuadé qu’elle explorait ses souvenirs à la recherche d’indices pouvant lui indiquer qu’elle aimait cette fameuse Violet. Il n’était pas si loin de la réalité et en même temps en était si éloigné qu’elle en aurait sans doute ri. Mais il n’était qu’un homme, il ne pouvait pas savoir …
4 ans. Une chambre sans charme, au-dessus d'un bar. Une petite fille, assise sur le plancher. Regard perçant, vif, se tournant vers la porte. Beaucoup de bruits, en bas. Personne, en haut, à part elle. Retour à son jeu. Des pièces de bois à assembler. La porte s'ouvre. Une femme entre, suivie d'un homme. Rires. Tressaillement de la petite. Elle ramasse des jouets. Sort de la pièce. Descend les escaliers. Escalade un tabouret du bar. Pose les pièces sur le comptoir. Et recommence. Six ans. Il est venu la voir. Il l'a emmenée chez lui. Si elle est contente, ça ne se voit pas. Il lui a demandé de quoi elle avait peur. Elle répondu l'eau. Il est sorti avec elle. L'a poussée dans la piscine. L'eau est froide. S'infiltre sous ses vêtements. Elle se débat. Ça rentre dans sa gorge. Elle tousse. C'est froid. Elle tend la main. Une autre l'attrape. Sa mère. Qui hurle. Il la frappe. Il se jette sur elle. Ils tombent dans l'eau. Un seul remonte. Un peu plus tard. L'homme parle à une femme. Elle ne l'écoute pas vraiment, jouant avec sa ceinture. Il y a des plantes partout. Un visage apparaît. Une autre fille. Qui la regarde. Elles n'écoutent pas les adultes. Elles se jaugent. Cela dure longtemps. Jusqu'à ce que les adultes oublient la présence des gosses. Elle lui fait signe. Elle la suit. Et se retrouve la tête maintenue sous le robinet. Sept ans. Ou un peu plus. Les deux gosses sont devant la télé. L'une joue avec un pétard, l'autre a un gros livre sur les genoux. Un visage passe sur l'écran. Les petites s'arrêtent. Reconnaissent l'homme. Les gens parlent fort. Il est encadré de policiers. L'une attrape la télécommande. L'autre tourne la page. Changement de chaîne. Neuf ans. Dans un seau d'eau, un petit être se débat. Étrange reflet d'une scène précédente. Mais ce n'est pas la fille. La fille le tient, et le regarde, impassible. Les couinements du chaton se sont tus. Et soudain, deux mains sur ses oreilles. Elle ne relève pas le regard tout de suite. L'autre fille l'a rejoint. La détonation est ainsi étouffée. Un peu plus loin, de la bouillie. Elle se redresse. Va jeter le contenu du seau dans le ruisseau. L'attrape par le bras. Et l'entraîne à sa suite. Quatorze ans. Cour du collège. Une des filles parle fort. Se bat. Embrasse un garçon. L'autre se tait. Lit un livre, en silence. On vient la voir. Elle relève les yeux. Répond brièvement. Il repart. Elle continue. Comme si de rien n'était. Dix-sept ans. Sortie de l'église. Deux filles seules. D'habitude, il y a une petite vieille avec elles. Un jeune homme les accoste. Il semble sûr de lui. Elles se regardent. Une l'attrape par le bras. Ils vont à l'écart. Il semble les narguer. Les menacer. La blonde avance la main. La referme autour de sa gorge. Il bouge. La brune lui envoie son genou dans les valseuses. Il se plie. La blonde va avec lui au sol, resserrant ses doigts autour de sa gorge. La brune fouille dans ses poches. Il ne se débat plus. La blonde se relève. Regarde la brune s'affairer. Recule. Pose les mains sur ses oreilles. Mais garde les yeux grands ouverts.
Nul doute que s’il avait vu ce retour sur la vie de cette demoiselle aurait-il compris à quel cas clinique il avait affaire. Et aurait-il compris ce qu’il allait lui arriver. Mais dans cette petite ville tranquille, qui aurait pu soupçonner ce genre de choses ? Pas lui, malheureusement. La douce miss Harper fit quelques pas, levant les yeux vers la pendule qu’elle considéra avec une résignation feinte. Elle ne pensait pas tant à la patience de l'homme, dont elle abusait, qu’à quelqu’un qui attendait qu’elle ait terminé son monologue. Il était temps. J’ai rendez-vous lundi, peut-être pouvons-nous reprendre à ce moment-là ? Je ne voudrais pas abuser de votre temps et je me sens mieux. Elle était déjà revenue vers le bureau et le médecin hocha doucement la tête : Très bien. Je vous raccompagne à la porte. Il se saisit de son manteau pendant qu’elle enfilait sa veste et remettait son chapeau et la précéda pour lui ouvrir la porte menant sur la salle d’attente. Ses yeux rencontrèrent immédiatement ceux d’une jeune femme, debout, appuyée contre le mur. Surpris, il s’arrêta deux secondes, la considérant un moment. Il était certain qu’il ne s’agissait pas d’une de ses patientes. Alors qui … ? Excusez-moi, qu’est-ce que vous … ? Une sensation de piqure le coupa. La diversion avait été parfaite, laissant le temps à Lullaby de sortir la seringue préalablement remplie de tranquillisant et de la planter directement dans la jugulaire du psychiatre. La dernière chose qu’il vit fut les deux visages, ceux de la blonde et de la brune qui se penchaient au-dessus de lui.
∞
Deux heures plus tard, la blonde observait la brune, adossée à la portière de leur voiture. Sur le siège arrière se trouvait une glacière, à l'intérieur de laquelle reposait le foie de celui qui avait eu le malheur de croiser la route des demi-soeurs. Il avait été une opportunité, personne ne leur avait demandé sa mort. Il n'avait simplement pas de chance. Elles avaient fait vite, dans cette cabane qu'elles avaient repérée, à l'écart de la ville. L'opération avait été propre, et maintenant, Shane se chargeait de faire disparaître les preuves. Le feu d'artifice se refléta dans les prunelles de Lulla. Elles récupéreraient les morceaux, la purée, pour être précises et les dispatcheraient dans des plates-bandes municipales. Le cycle de la vie. Elles rejoindraient leur commanditaires, présenteraient des faux papiers justifiant d'une mission humanitaire si les policiers les arrêtaient pour un contrôle de routine et s'interrogeaient sur la présence de la glacière et de son contenu. Et après ... après, elles allaient prendre des vacances, histoire de ne pas attirer trop l'attention, écrire quelques articles, en direct de la maison qu'elles avaient achetée, dans ce trou, il y avait quelques années de cela. Un endroit étrange, avec de folles rumeurs ... qui irait chercher deux meurtrières trafiquantes d'organes là-bas ... ?
Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Mer 19 Fév 2014 - 13:27
Magad elle est sublime Comme pour Shane, je ne connais pas le vava, mais gosh. Je te la réserve pour la semaine, d'ailleurs.
Et puis comme je disais, encore mille fois désolée de ne pas avoir vu votre question plus tôt et de vous avoir fait poireauter comme ça En tout cas, je te souhaite la bienvenue par ici J'ai hâte de voir ces petites trafiquantes d'organes dont vous avez parlé. Je lirai ton début de fiche quand je serai plus au calme, mais quoi qu'il en soit, bon courage pour la suite. Et si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite surtout pas !
Nicol R. Dunegan
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Mer 19 Fév 2014 - 20:28
Trafiquante d'organes... Je penserai à pas m'approcher de trop près J'aime beaucoup le personnage en tout cas +1 que Maddox. L'avatar m'est totalement inconnue, mais elle en jette grave
Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Jeu 20 Fév 2014 - 10:44
BIENVENUE Good luck pour ta fifiche
Lullaby E. Desmond
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Ven 21 Fév 2014 - 20:53
Merci à vous messieurs
MADDOX : Merci monsieur, vous n'êtes pas mal fait de votre personne vous-même ! Florrie-chou n'est pas super connue, c'est vrai, mais elle va tellement bien à Lulla que je lui pardonne son manque d'avas Merci pour la résa ! Pour ton silence ... on va pouvoir s'arranger ... Non, il nous faudra forcément un lien, entre personnes pas tout à fait finies (ou trop finies, selon Lullaby), on verra si je te laisse ton foie ...
NICOL : *s'incline devant l'avatar* Maître ... Merci beaucoup, j'espère que la suite de la fiche ne te décevra pas et à bientôt, du coup
Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Sam 22 Fév 2014 - 15:17
Bienvenue par ici jolie blondinette. Bon courage pour la suite de ta fiche !
Lullaby E. Desmond
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Mer 26 Fév 2014 - 19:45
Merci beaucoup, madame !!!
Serait-il possible d'obtenir un délai ainsi que pour Shane svp ? La semaine a été rude et il faut qu'on voie ensemble quelques points d'histoire ! Merci beaucouuuup
Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Jeu 6 Mar 2014 - 23:08
Tout comme pour Shane, j'ai adoré lire ta fiche. Ton style est super fluide, vraiment, c'était un plaisir Et j'adore le personnage de Lullaby, really En bref, tout est en ordre, je te valide. Tu peux aller jouer, et tout ce qui va avec. Amuse-toi bien
congrats !
Bah ouais, si tu vois ça, c'est que bien évidemment tu as rejoint nos rangs ! Bref, pour t'aider à faire tes premiers pas ailleurs sur le forum, si tu as la grosse flemme de chercher les liens, j'vais t'faire une petite visite guidée. T'es prêt ? Tu verras, c'est pas bien compliqué.
Pour commencer, je te conseille fortement de passer du côté des DEMANDES, histoire de te trouver un logement et un boulot, ça peut servir. N'hésite pas à foncer te procurer un TÉLÉPHONE, et si tu as un peu de mal à trouver des LIENS ou des SUUJETS, fonce en chercher aux RECHERCHES, elles sont là pour ça ! Et la détente ? Le FLOOD n'attend que toi. Ah ouais, et n'oublie pas de VOTER POUR LE FORUM ! Et surtout, SURTOUT, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas !
Sur ce, je te souhaite bon jeu parmi nous !
Daniel C. King
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby Sam 8 Mar 2014 - 19:50
Ouiiiii! <3
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Sujet: Re: If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby
If the sky that we look upon should tumble and fall - Lullaby