Sujet: Nora Bloom ▬ fleur au vent Sam 8 Mar 2014 - 22:40
Nora Adélaïde Bloom « She told me that I'm acting crazy, She said I need to free her »
NOM ✢ Bloom. La floraison. L’éclosion fragile et unique d’une vie. Le bourgeon qui s’ouvre, qui se plie au vent, se noie dans la pluie. Bloom. La fleur de l’Ecosse, délicatesse dans le vent du nord. PRÉNOM ✢ Nora. Elle l’aime, son prénom. Elle l’aimait, quand il roulait sur la langue de son frère, qui l’appelait, l’appelait colère, l’appelait, fiévreux. Sa mère prétendait que ça venait d’Honora. L’honneur qui n’est plus dans ses veines. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✢ C’était un 13 mai. Il pleuvait, à Perth, en ce début de journée. ÂGE ✢ 27 ans, longues années passées à sortir la tête hors de l’eau PROFESSION ✢ Nora s’occupe des fleurs. Elle vous fait des bouquets de roses, de lys, de pardon, d’amour. Elle a terminée, depuis quelque mois, ses études d’art et a rejoint, pour ses heures perdues, un petit atelier de décoration. Elle rénove des meubles, Nora. Récupère les carcasses du temps et leur offre une seconde vie. SITUATION MATRIMONIALE ✢ Elle était fiancée, elle allait se marier, Nora. Puis l’accident arriva et le monde l’abandonna. Depuis, elle reste célibataire. Elle ne se sent de personne, ne veut personne. ORIENTATION SEXUELLE ✢ Hétérosexuelle. Elle aimait les hommes, se réfugier dans des bras forts et avenants. Parfois, elle s’y égare encore. Ce qui n’empêche pas les rares écarts, pour des formes voluptueuses, quand la solitude l’ennuie. SITUATION FINANCIÈRE ✢ Il n’y a rien d’exceptionnel. Pas à ses yeux. La crise, néanmoins, veut qu’elle soit aisée. Nora, elle, s’en moque. EN UNE CHANSON ✢yellow light, of monster and menGROUPE ✢ Buried in Water, car si elle n’y est pas née, à Stonehaven, elle y est y arrivée il y a presque dix ans et qu’ici, plus que nulle part ailleurs, elle se sent libre.
À SAVOIR ✢ Parle Français. Très bonne nageuse. Mélancolie passagère. Terreurs nocturnes.
PETITS SECRETS ✢ La culpabilité est ton fardeau. Tu prétends avoir tourné la page, et pourtant, ton inconscient te jette encore cette faute au visage, les nuits trop sombres, les nuits trop seules. Tu n’es pas idiote. Tu as étudié tout ceci. Tu sais ce que ta tête te dit, ce que ton cœur te déchire. Tu t’en veux. Non pas pour sa mort. Tu t’en veux pour cette petite voix, cette minuscule déclaration qui te court les neurones et te vend ta véritable identité. Parce que, toi, tu le sais. Que Thomas, il est mieux là. Dans son Paradis. Dans son Enfer. Loin de tout. Loin de vous.
Nora elle est douce et en retrait. Elle est la fleur calme, qui reste dans un coin, qui parfois, se perd dans ses pensées, s’égare dans le temps. Tout le monde l’aime, Nora, parce que ce n’est pas possible autrement. Elle est la fleur qui s’épanouit, tout en sachant, qu’un jour, elle viendra à se flâner, flétrir et mourir. Nora, elle a déjà été brisée, tant de fois. Et elle continue de se relever, de garder la tête haute, les yeux fixés sur l’horizon. C’est une battante blessée. Car à force de tomber, ses genoux ont commencé à souffrir, son cœur, à ne plus vouloir vivre. De là cette fragilité, cette émotion qui flotte dans l’air, ce frémissement dans son regard, ce mince sourire conventionnel. On a envie de la protéger, Nora. Et pourtant, elle n’a envie de personne. Elle se complait dans la tranquillité de sa boutique de fleurs, à gribouiller ses feuilles de dessin, écouter de la vieille musique anglaise. Elle parle, mais pas beaucoup. Parle de ce qu’elle veut et quand le sujet ne lui plait pas, elle détourne la conversation. Ce qui est rare. Car elle n’estime n’avoir rien à cacher, sauf ses secrets précieux qu’elle cache dans un coin de son cœur. Ces fêlures, ces douleurs. Nora est terriblement intelligente et vive d’esprit. Cela se voit dans les étincelles de son regard. Elle aime surprendre les gens, qui la prennent pour une simple d’esprit. C’est qu’elle a étudié la psychologie voyez-vous, quand bien même elle ne s’en pavane pas. Elle est très bien éduquée et modeste. Ce n’est pas une politesse lourde et agaçante. C’est un long travail, qui fait qu’elle est toujours délicate et avenante envers les gens. Elle a appris à connaitre les désirs des gens et y répondre du mieux qu’elle le peut. Elle fait mouche assez souvent, d’ailleurs. Ce qui est aussi une arme redoutable quand on s’attaque à ce qui ne faut pas, s’attarde sur les mots qu’il ne faut pas. Elle ne se laisse pas faire et Nora éclate. Eclate de remarque et d’une colère froide. Nora, c’est la fleur pliée par le vent, qui se tient encore dans le sol et qui sait, qu’un jour, elle s’envolera, pour une destination inconnue et bienvenue. Stonehaven est son Paradis illusoire. Ses rêves de voyages ont longtemps été tués. Elle est ancrée à cette terre, y restera.
GAN-SHA ✢Faisons ça de manière classique o/ 22 ✢ fille ✢ étudiante ✢ Présente 5/7, souvent sporadique pendant les week-ends (la vie étudiante est chargée…) ✢ Je voue une légère vénération pour Rooney Mara et j’ai cru remarqué quelques clins d’œil à Hannibal, donc je ne peux qu’approuver le forum encore plus :3
✢ veux-tu avoir l'exclusivité du prénom ? () oui (x) non ✢ veux-tu avoir l'exclusivité du nom ? (x) oui () non ✢ qui est sur ton avatar ? Anna Kendrick ✢ à qui dois-tu tes images ? Au Larousse (wesh), à Tumblr et à Shiya✢ un petit mot pour finir ? J’espère que je me plairai bien ici, j’ai hate de rp avec tout le monde (bon, surtout avec Maddox, mais c’est un secret (a) ) Puis… Je suis désolée, j'ai fait de Nora une sorte de victime. C'était pas prévu à la base, pas aussi vite, mais, things happen et voilà
Nora A. Bloom
nowhere we can hide
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Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent Sam 8 Mar 2014 - 22:41
story of my life. « citation »
Nora. Honneur familial. Fierté & Orgueil de la famille. Elle ne peut pas se souvenir de la joie de la demeure, le jour de sa naissance. Il faisait gris. C’était un jour de pluie commun à Perth. Et pourtant, la maison était bonheur, lueur rayonnante pour le reste de la ville. Les grands-parents souhaitaient la réussite. Les oncles et tantes, une belle enfance, certains la sagesse, d’autres l’ivresse. En bref, c’était un jour de liesse. Qu’elle dure pour toujours, des tierces souhaitent. Ils se trompèrent.
Son enfance, dans ses mémoires, sont des flash-backs de rires et de quelques bêtises. Des jeux avec son grand-frère, du premier jour d’école, du premier grand chagrin… Quand Nora repense à cette époque, il y a ce petit sourire nostalgique qui se loge au coin de ses lèvres et qui la poursuit, le temps de sa réminiscence. Tout allait pour le mieux. Elle grandit dans une de ces familles aux restants aristocratiques. Plus assez être convié aux grands de ce monde, mais suffisamment pour posséder une certaine renommée dans cette partie de l’Ecosse. Les Bloom. La fleur du Nord. Entreprise de Commerce et d’import-export. Papa était souvent à l’étranger, mais quand il se trouvait sur sa terre natale, il travaillait à la maison. Maman, elle, s’occupait de la comptabilité. Jusqu’à ce qu’elle porte le premier Bloom. Thomas.
Le frère. L’amour. La plaie. Il était son monde, celui de Nora. Celui dont elle s’efforçait de suivre les traces, se faire prendre dans quelques pièges enfantins, piquait les jouets des garçons, pour se faire réprimer par la nounou. Parce qu’une fille ne pouvait se comporter comme un garçon. Elle boudait ses poupées et quand Nanny ne regardait pas, Thomas lui lançait une épée de bois. Il était de huit ans le plus grand. C’était déjà tout un monde qui les écartait. Et pourtant, sous l’œil avisé de leur mère, il continuait de s’occuper de sa sœur, avec gaité, parfois colère.
Le déclin vint quand Thomas passa ses quatorze ans. Les crises de colère furent de plus en plus fréquentes, l’enfermement régulier, les cris en fond sonore. Nora, à six ans, ne comprenait pas très bien, pourquoi Thomas ne voulait plus la voir. Si ce n’était pas pour la frapper, l’insulter, ou tout simplement l’ignorer. Ce fut à partir de ce moment que le psychologue devint un autre apparat de la maison, qui venait aussi régulièrement que besoin. Nora apprit des mots trop compliqués pour elle, à un âge beaucoup trop jeune. Psychotropes. Psychotique. Hallucinations. Délire. Thomas, le rayon de soleil, devint la chèvre galeuse, le fardeau Bloom, la fleur infectée, fanée. L’ambiance familiale en pâtit. Les valeurs changèrent. Tous grandirent, trop vite, sans sourire.
Sauf Nora. Elle souriait, pour son frère qui ne pouvait plus sourire. Elle devint l’espoir familial, sans pour autant, n’être jamais à la hauteur aux yeux de ses parents. L’enfant à qui l’on demandait tout. D’être parfaite, où le moindre écart était d’autant plus réprimandé. Alors, Nora s’entraina. A être plus que ce que l’on attendait d’elle. A sentir les demandes des autres, les anticiper, les deviner. Pour que le père n’ait plus à soupirer face aux lacunes de Nora.
Elle prit sur ses épaules le poids des Bloom, empathie à son extrême, fleur fragile, fragilité à fleur de peau. Nora cherchait à donner de l’air à ses parents là où ces derniers pouvaient respirer. Elle devint rapidement autonome, pour ne plus que ses parents ne se concentrent sur elle. Elle brilla au collège, pour ne pas qu’ils s’inquiètent de ses notes et de son avenir. Elle se fit des amis, pour ne pas attirer l’attention sur sa famille et ne pas inquiéter ses parents. Nora était l’enfant normal, et par définition pour les Bloom, l’enfant idéal.
Mais elle ne connaissait jamais l’entière satisfaction d’être félicitée pour tout ce travail, difficile surveillance de son être. Se plier aux attentes et fermer les yeux sur ses envies. Elle rêvait de fuir sa maison, partir en Angleterre, ou plus loin encore. Partir où elle ne craignait plus de croiser Thomas dans les couloirs, baisser la tête pour ne pas qu’il se sente menacer, et attaquer. Car si elle pouvait anticiper les vouloirs de tous, il n’y avait que Thomas qui restait impassible à son imaginaire. Car le sien était tordu et n’obéissait à aucune raison apparente, prise au piège du joyau schizophrène.
Tout changea, encore une fois, abandonnant le peu d’équilibre que la maison connaissait. Nora, un jour, attrapa la silhouette de Thomas à l’extérieur et inquiète des vadrouilles de celui-ci, elle le suivit. Ombre furetant au loin, n’osant pas l’appréhender, bien consciente qu’elle n’arriverait jamais à le faire rentrer à la maison si celui-ci s’énervait. Elle s’arrêta sur la jetée, à une vingtaine de mètre, frissonnant à l’air d’automne que la rivière soufflait. Elle observa, muette, Thomas se jeter dans les flots. Suicide. Son esprit devint blanc et vide, tandis qu’elle se jetait elle-aussi à l’eau pour aller sauver cet idiot de frère.
A partir de cette nuit, l’équilibre des forces changea. A partir de ce jour, Nora devint persuadée qu’elle pouvait sauver son frère. Le psychologue de la famille lui parlait de temps en temps, mais de manière toujours distante. Alitée suite à une fièvre cuisante (prendre un bain en plein milieu de la nuit n’est pas tellement conseillé pour la santé) elle fit appel à lui. Elle discuta plusieurs heures avec lui. Puis ressorti cette conviction. Quand bien même elle était amenée à craindre son frère par le passé, elle l’aimait toujours, son Thomas. Et elle ne le laisserait pas tomber. Plus maintenant.
Le fait de l’avoir sauvé aida grandement. Vraisemblablement, Thomas ne la voyait plus comme une nuisance et à chaque fois qu’il avait une crise particulièrement violente, Nora était la seule à pouvoir le ramener à la réalité. L’ambiance se détendit quelque peu, chez les Bloom. Nora redécouvrit les plaisirs des sourires sincères et des discussions cohérentes avec Thomas, lors des bons jours. Elle se découvrit, également, une passion pour le mental de l’homme. Elle voulait soigner. Pas le corps, mais bien les méandres de l’être. Peut-être qu’un jour, elle parviendrait à comprendre ce qui n’allait pas chez Thomas…
Paradoxalement, elle se passionna pour la natation, seul lieu qu’elle estimait sûr. Ilot de paix, quand Thomas était particulièrement blessant. Il gardait une peur de l’eau et quand il la voyait nager, il ne pouvait que rôder autour de l’eau de manière appréhensive, attendant qu’elle sorte pour fuir au loin. Les enfants grandirent. Nora, bien vite, fut confrontée au choix des études supérieures. Difficilement, elle choisit Stonehaven, avec son université réputée pour sa faculté de psychologie, qui, d’autant plus, n’était qu’à quelques heures de routes de Perth. Proche de la famille. Proche de Thomas.
Sa première année fut floue. Elle s’habitua à être loin de sa famille, à ne plus avoir ce stress quotidien pour Thomas, s’épanouir à une liberté retrouvée. Elle se fit bien vite des amis, apprécia ses cours, en abhorra d’autres. Tout se passait pour le mieux. Il arrivait que, parfois, elle se doive de retourner en urgence à Perth, suite aux crises de son frère. Qui devinrent de plus en plus récurrentes. De plus en plus éprouvantes. Nora fermait les yeux sur la fatigue, sur les peines. Elle ratait quelques cours, passait un jour ou deux chez elle, puis retournait étudier à Stonehaven.
Ce rythme éreintant, elle avait l’impression qu’il aurait raison d’elle. Si ce n’était pas pour Thomas, elle aurait abandonné depuis longtemps. Se serait-elle, elle-aussi, jetée à la mer, pour nager loin, si loin, qu’elle ne reviendrait plus. Et finalement, le monde eut raison d’elle. A la première note, dans la voix de sa mère, Nora comprit que quelque chose de grave s’était passé. Thomas s’était pendu. C’était la fin. La fin de tout.
Elle se souvient avoir ri, avant même de penser qu’elle devrait pleurer. Thomas était mort. Son grand-frère malade, ballotant au bout de sa corde, à suivre un rythme invisible. L’ironie de la terre. Et Nora, Nora se rappelle, n’avoir eu qu’une pensée, une remarque de son inconscient oublié. « Il sera mieux là. » Son monde prenait fin. Maintenant était venu le temps de l’Enfer.
Sa mère, dans le deuil, lui reprocha de ne pas avoir pressenti les évènements. Nora tut, que c’était un risque constant, que Thomas finisse par recommencer ce qu’elle l’avait empêché de terminer, des années auparavant. Ce ne fut pas suffisant. Jamais. La sphère familiale éclata pour de bon. Les études de psychologie qu’elle avait abandonnées, ne saisissant plus l’utilité d’un tel parcourt, elle était retournée à Perth. Triste décision, la pire de sa vie. Ses sourires moururent sur ses lèvres, sa joie de vivre accompagnant le nœud coulant qui rompait le cou de Thomas.
Nora avait vingt-trois ans, et plus aucun but dans sa vie. Elle se ferma de sa famille, qui la jugeait coupable d’un acte qu’elle n’aurait jamais pu empêcher. Sa propre culpabilité était suffisante, celle de cette pensée, horrible et de ce soulagement coupable à la mort de son frère. Le deuil fit son bout de chemin, une légère dépression pour accompagner le tout. Puis, au commencement de la nouvelle année scolaire, Nora se ressaisit. Ce n’était pas son genre de se laisser abattre. Elle avait été une battante jusque-là. Elle pourrait bien continuer à avancer. Elle retourna à Stonehaven, seul havre de paix qui lui vint à l’esprit. Pourtant, en premier ses premiers cours d’art plastique, Nora remarqua qu’il y avait quelque chose d’off. Le cœur n’était pas tout à fait à l’ouvrage et elle se perdait, parfois, dans ses travaux, à des œuvres sombres. Ca ne trompait pas son côté psychologue, bien consciente des signaux que son cerveau lui envoyait. Alors elle détruisait tout, brulait ses toiles, reprenait quelque chose de plus épuré, de plus contrôlé.
Pour s’occuper l’esprit, elle suivit un double-cursus de fleuriste, sourire amusé avec son nom. Nora ne savait pas ce qu’elle voulait faire. Le monde compliqué des réflexions n’était plus pour elle. Elle se laissa donc guidé par une proposition d’une de ses amies. Elle finit par se faire engager chez un fleuriste du vieux quartier, retrouva quelques camarades de classe (coucou Maddox). Elle réapprit le goût de l’air, les joies de la natation, à chasser les cauchemars, enfuir les remords et les regrets.
Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent Jeu 13 Mar 2014 - 20:06
Daaaaaaaamn. Ta fiche est une perfection sans nom. Je crois que je n'aurais pas pu espérer mieux pour ma petite Nora de tomber entre tes mains, ohlala. C'était super agréable à lire, très fluide, j'ai adoré. Tu n'as pas parlé dans ton histoire de cette histoire de fiançailles mais comme ça ne m'a pas choquée / gênée vu que tu le mentionnes bien avant, ce n'est pas grave En tout cas, je te souhaite peut-être un peu tard la bienvenue (BIENVENUUUUUUUUE ) mais je t'amène en même temps la validation. Amuse-toi bien par ici, et encore merci d'avoir jeté ton dévolu sur la petite Nora. Elle est parfaite comme ça. À très vite, en jeu, dans le flood et ailleurs, alors. Pas le temps de réserver ton vava, je vais direct recenser tout ça ! Et si, tout de même, tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas. :heart
congrats !
Bah ouais, si tu vois ça, c'est que bien évidemment tu as rejoint nos rangs ! Bref, pour t'aider à faire tes premiers pas ailleurs sur le forum, si tu as la grosse flemme de chercher les liens, j'vais t'faire une petite visite guidée. T'es prêt ? Tu verras, c'est pas bien compliqué.
Pour commencer, je te conseille fortement de passer du côté des DEMANDES, histoire de te trouver un logement et un boulot, ça peut servir. N'hésite pas à foncer te procurer un TÉLÉPHONE, et si tu as un peu de mal à trouver des LIENS ou des SUUJETS, fonce en chercher aux RECHERCHES, elles sont là pour ça ! Et la détente ? Le FLOOD n'attend que toi. Ah ouais, et n'oublie pas de VOTER POUR LE FORUM ! Et surtout, SURTOUT, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas !
Sur ce, je te souhaite bon jeu parmi nous !
Daniel C. King
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Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent Ven 14 Mar 2014 - 0:38
Bienvenue toi <3
Nora A. Bloom
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Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent Sam 15 Mar 2014 - 14:41
Han, merci Oui, pour le fiancé, j'avais écris ça avant, puis pendant la rédaction de l'histoire, j'ai pas réussi à l'intégrer Mais bon, il n'est plus qu'un détail dans la vie joyeuse de Nora *sort*
Je m'en fais remplir toutes ces petites choses administratives. Les gens, soyez prêts pour rp
Daniel C. King
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Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent Sam 15 Mar 2014 - 15:49
Je suis prête prête prête <3
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Sujet: Re: Nora Bloom ▬ fleur au vent
Nora Bloom ▬ fleur au vent
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