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 the devil is calling me back home. ▼ (lilian)

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MessageSujet: the devil is calling me back home. ▼ (lilian)   the devil is calling me back home. ▼ (lilian) EmptyJeu 24 Oct 2013 - 17:13


i might be dead.
but i'll overcome.

Le liquide ambré glisse le long des parois hyalines du verre. Et toi, tu le fixes avec l'air blasé de la fille emmerdée par son job. Pourquoi tu bosses encore ici, déjà, tu me rappelles ? Ah oui. Ce job paie bien. Ou du moins suffisamment pour couvrir ta fin de mois. Et puis, tu as un sacré caractère. Tu ne te laisses pas marcher sur les pieds. Pire que cela, même ; le premier crétin consanguin qui te parle sur un ton déplacé ou tente de regarder sous ta jupe, et il faut t'attacher pour t'empêcher de le castrer. Dans un jour comme aujourd'hui, tout du moins. Certaines fois, et tu te laisseras faire, le provoquant ouvertement avant de lui faire bouffer son assiette encore pleine de purée brûlante. D'autres jours, tu le repousseras en te mettant à pleurer toutes les larmes de ton corps, choquée et apeurée. Mais tu es dans ce genre de jours où la muselière devrait être rendue adaptable à l'homme. Ou même la femme, et cela sans aucune connotation quelle qu'elle soit. Tu es enragée, Daisy. Une véritable petite tornade. Et tu as beau servir un verre avec le naturel le plus détaché et blasé du monde, certaines personnes ne vont pas tarder à s'en rendre compte. « J'peux pas avoir un supplément ? » qu'il te sort d'un ton bourru, et quelque peu antipathique. Tu le regardes, de tes grandes prunelles noisette, remplies de rage et d'une force de caractère dont peu apprécient de te voir dotée. « C'est comme le cul de la pute du trottoir d'en face, c'est payant. » Tu refermes le goulot de la bouteille, supporte dans ciller le regard outré de ton client. Tu as un jargon vulgaire et détestable. Une manière de parler virile, souvent rustre et impolie. Ça fait parfois rire ton patron, actuellement en train d'essuyer des verres à quelques pas de toi. Mais là, il n'en rit pas. Pas du tout, même. Tandis que tu passes à côté de lui pour ranger la bouteille d'alcool, il te glisse quelques mots, grondant. « Tu recommences et je te donne des vacances anticipées, c'est clair ? » Tu ne dis rien. Il sait bien que tu l'as entendu. Tu le respectes, et il te respecte, bien qu'étant ton supérieur. Alors tu sais que tu vas te la fermer, et être faussement agréable avec les clients pour le reste de la journée. Tu reprends la bouteille. T'approches à nouveau du client, bien que cela semble t'arracher quelques côtes. Et grommelant un mot, tu lui sers une petite rasade supplémentaire. « Pardon. C'est la maison qui offre. » Et qu'il ne te demande pas de répéter. Ça t'arracherait la gueule, toute polie et agréable que tu ... N'es pas. Caractère de cochon.

Tu soupires, range bel et bien la bouteille, cette fois-ci. « Bien. » Il a beau te menacer, ta coopération, toute aussi minime qu'elle puisse être, suffit souvent à te sauver la peau. Tu ne réponds rien, à nouveau, et te contente de t'approcher d'un autre client. Cliente, pardon. Les femmes ont en général plus de manière. Tu contournes le comptoir, détachant ton chignon emmêlé pour secouer quelques secondes ta masse de cheveux roux. Les tâches de rousseur s'étalent sur tes joues, te donnant une apparence de poupée si délicate qu'il est presque difficile de croire que des phrases si lourdes et vulgaires peuvent parfois sortir d'entre tes lèvres. On dirait qu't'es encore au lycée. Tu ramènes tes cheveux en une nouvelle coiffe, chignon haut et fait à la va-vite, avant de t'arrêter à la table de la jeune femme. « Je vous sers quoi ? » Pas un sourire, pas une once de gentillesse dans ta voix. Mais pas le moindre dédain non plus. Elle a l'air un peu plus âgée que toi, mais sûrement pas de beaucoup. Et au pire, qu'en as-tu à taper ? Tu lui souris, finalement, bien que durement, lui montrant que tu as bien enregistré. Et, au moment où tu relèves les yeux, tu le vois. Tu sens tes nerfs se rouler en pelote. Mais tu t'efforces de ne rien dire. Zen. Ça va aller. « Ça marche. » Il s'est installé à la table juste derrière. Te détournant de la seule cliente féminine du bar à cette heure, tu jettes un regard léger à ton patron. Tes iris bruns croisent son regard lourd et menaçant. Okay. Message reçu cinq sur cinq. Va falloir s'occuper du connard.

Tu t'approches. Irritée. Énervée. Tu serres les dents. Calme-toi. Ou tout cela va mal finir. Et encore, dans une monotonie exagérée, cette phrase que tu t'efforces de ne pas lui cracher. « J'vous sers quoi ? » « Hey Dais'. Ça fait un bail ma parole. » Ne pas s'énerver. « J'vous sers quoi ? » Bien. « ... Allez, t'es pas surprise de me voir là ? Ou contente ? Ou en colère ? Je sais pas moi, manifeste un truc. » Fais un effort. « Fous-moi la paix. Et dis-moi ce que tu veux boire. »

Bien tenté.
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Lilian A. Dixon

Lilian A. Dixon

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MessageSujet: Re: the devil is calling me back home. ▼ (lilian)   the devil is calling me back home. ▼ (lilian) EmptyJeu 24 Oct 2013 - 20:21

Journée de merde. Monde de merde. Détenus de merde!
Une heure et demi qu'elle était en interrogatoire. Ou du moins, qu'elle observait l'interrogatoire d'un type présumé agresseur d'une gamine qu'il aurait... Violenter, et misait le tout sur l'alibi d'une soi disante petite amie avec qui il aurait été ce soir là.
Elle commençait à perdre patience. Une heure et demi que ce mec les menaient en bateau, à sourire stupidement. Il devait penser que les flics étaient tous des idiots, des incapables. Je t'en foutrais moi de l'incapacité. Connard.
-Il ne cèdera jamais.
Relevant le visage vers son coéquipier, un certain Mark Davis à la trentaine passée, la jeune femme le dévisagea un court instant en guise d'interrogation.
-Il à un casier rempli, mais personne ne l'a vu. Pas de témoins, la gamine était droguée... Il maintient qu'il n'a rien fait et qu'elle s'est naturellement droguée, que lui ne l'a jamais vu de sa vie.
-Ouais, le genre d'abruti que t'as envie de fracasser contre un mur...

D'ailleurs, pourquoi se contenir ? Elle avait passé sa vie à se contenir, faire des convenances, éviter de malmener les suspects d'une enquête. Pas cette fois. Ce mec lui pourissait la journée. Elle en avait assez de se faire insultée, qu'on lui sous entende qu'elle ne vaudrait jamais sa "défunte cousine". La défunte cousine en question c'est moi abruti. Mais ça, elle ne pouvait pas le dire.
Se levant sans un mot, la revenante entra dans la salle d'interrogatoire et ouvrit la porte avec fracas.
Ignorant les balbutiements du flic qui interrogeait le fameux "Ed", Dixon arriva derrière la tête du suspect et, d'un mouvement brusque du plat de la main, lui écrasa le nez sur le bureau avant de le tirer en arrière, ses doigts cramponnés à ses cheveux.
-Ecoute moi bien Ducon. Des abrutis comme toi j'en bouffe tous les matins au petit dej', mais là ça commence à me courir tes réflexions à deux balles sur le concept que les filles sont toutes des allumeuses. Alors tu vas fermer ta grande gueule, admettre tes torts et te tirer avant que je ne m'énerve légèrement.
-Elle m'a pété le nez!
-Non, là je t'ai légèrement secoué. SI je te l'avais cassé, t'aurais déjà repeint la table avec ton sang !

-Dixon stop!
Davis la tirant violemment par la manche pour éviter qu'elle ne frappe à nouveau le suspect, la jeune femme se laissa faire à moitié, non sans foudroyer du regard les deux flics et le suspect. Ignorant les remontrances de son boss qui la traitait de débutante pour avoir perdu son sang froid de la sorte, Dixon claqua la porte violemment la porte mettant un terme aux hurlements du patron. Qu'ils aillent tous au diable. Quoi que, ils seraient capables de revenir eux aussi...

Boire un verre lui ferait le plus grand bien. Troquant son uniforme de police contre quelque chose de moins conventionnel, un slim noir, une veste en cuir noire, et un top à fine bretelle blanc qu'elle mis avec une paire de bottines à talons hauts, la brunette ramena ses anglaises en arrière, inspirant profondémment pour ne pas céder à l'envie d'allumer une clope. Se laissant tomber sur une des chaises du bar, elle vit arriver vers elle une des serveuses pas particulièrement aimable. Mais à la limite, ce n'est pas ce qui la génait le plus. Son mordant l'avais faite sourire quelques instants plus tôt face à un client.
-Un Bailey's on the rocks.
Hochant la tête en guise de remerciement, elle nota l'air contrarié de la rouquine qui venait de se diriger vers la table de derrière, et le client semblait ne pas vouloir lâcher l'affaire. Un chieur, encore; Bordel mais quand allait-elle être tranquille, ne serait-ce que 5 minutes ?!
Laissant la serveuse se débrouiller, elle finit par soupirer d'impatience. Ce mec était aussi collant que du caoutchouc sur un bitume en plein soleil!
Finissant de patienter calmement, Dix' finit par se lever brusquement pour se diriger vers la table du type, posant fermement le plat de sa main sur sa table.
-Loin de moi l'envie de participer à ta conversation l'ami, mais il me semble que cette jeune femme t'as demandé ce que tu bois, pas comment va ta vie, ou un autre détail de ce genre. Moi pour ma part, j'ai soif, et si tu continue de la harceler, je vais sérieusement finir par disjoncter. Donc choisis quoi boire avant que je le fasse pour toi je te prie.
Le tout, suivi d'un petit sourire en coin qui en aurait presque été séducteur si la jeune femme n'avais pas eu les nerfs en pelotes;


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MessageSujet: Re: the devil is calling me back home. ▼ (lilian)   the devil is calling me back home. ▼ (lilian) EmptyVen 25 Oct 2013 - 16:02


i might be dead.
but i'll overcome.

Il te faisait chier. Je crois que c'est clair. Et bien malheureusement pour lui, tu n'étais pas dans un de tes cycles les plus patients. Tu aurais aimé lui en coller une, que sa tête racle délicatement le bois dur de la table, que son sang remplisse son putain de verre. Mais tu devais rester calme. Polie. Souriante. Parce que quelques mètres derrière toi, ton boss te regardait. Parce qu'il attendait de voir quelle serait ta réaction. Et que c'était probablement ta dernière chance de la journée. Si tu la foutais en l'air, ce serait ton job qui sauterait. Néanmoins, connaissant les tendances protectrices de ton patron, tu te doutais que si ce super connard de lourd-dingue commençait à trop t'approcher, ce serait lui qui interviendra. Fort malheureusement, tu n'avais absolument pas prévu de lui laisser le plaisir de te défendre. Tu te débrouillais parfaitement seule.

... Alors allez l'expliquer à l'autre grande gueule de la table d'à côté, hein. Et vas-y qu'elle ramène ses jolies petites fesses, et que tu lui gueulerais bien d'aller se faire foutre, elle aussi. Qu'ils aillent tous au diable, sérieusement. Qu'ils foutent le nez dans leurs oignons et qu'ils te laissent gérer les tiens. Il y a vraiment de ces journées où tu détestes venir travailler. Pourtant, si tu dois bien faire une fleur à cette fille, ce serait en avouant qu'elle aussi a un caractère fort bien trempé. Ça t'amuserait presque de la voir agir de la sorte, rembarrer ce connard ainsi. Ça t'amuserait, oui. Si ce n'était pas ta proie. Foutus prédateurs.

Tu avais cependant aujourd'hui un caractère suffisamment hargneux pour rebondir sur ce qu'elle venait de dire, et te servir d'elle à ton avantage. Tu affichais un sourire légèrement ironique, levait les yeux au plafond quelques instants, en une moue de mépris, avant de te réintéresser à ton abruti d'ex flirt. « Tu vois ? Tu empêches la plèbe de savourer son petit coup à boire. » Tu te retenais de l'insulter. En réalité, tu mourais d'envie de le crever de tous les noms d'oiseau que tu connaissais. « Me force pas à aller chercher le grizzli qui me sert de patron, il est pas de bonne humeur aujourd'hui, il a une dent après moi. Dernière chance. Tu bois quoi ? » Son regard oscillait entre toi et l'autre, visiblement mal à l'aise de se retrouver face à deux filles qui n'hésiteraient pas une seconde de trop avant de lui foutre respectivement la tronche sur la table une fois, puis une seconde. « Hm ça va, ça va. Un whisky coca s'te plaît. » Tu ranges ton petit carnet et ton crayon dans la poche haute de ta chemise. « Non, tu vois, ça ne me plaît pas. Mais je le fais quand même. » Tu tournes les talons, et le laisse se débrouiller avec l'autre. Si tu ne ramènes pas leur commande maintenant que le problème est réglé, tu vas encore te faire engueuler. Et pour être honnête, ça ne figure pas dans tes projets.

Tu retournes au bar. Le boss a baissé les yeux. Il est retourné à ses occupations. Il ne ferait pas le moindre commentaire, et tu le sais. Tu passes derrière le bar, commence à préparer leurs boissons. Tu as planté les deux clients. Mais tu t'en fiches. Tu vas leur apporter à boire. Et tu resteras à ta place. Comme d'ordinaire, non ? Quelques minutes plus tard, les cocktails sont prêt. Tu poses les deux verres sur ton plateau, et reprend la direction de la salle. Il va encore te faire un commentaire désobligeant, tu le sais. Tu poses d'abord le verre à la table de la jeune femme, avec un petit sourire. « Enjoy your drink. » C'est presque ironique. Mais tu lui as bien rempli son verre. Un peu plus que la moyenne. Parce que tu l'aimes bien. Tu approches doucement de l'autre table, ton sourire disparu, et tu lui poses son verre brusquement devant lui. Il ne t'a pas quittée du regard. « J'essaie de me rattraper. Même si j'ai franchement pas compris ce que je t'ai fait. Tu veux pas me laisser une chance ? » « Non. » « Écoute, t'es plus avec Vlad' non ? » Et là, c'est le pompon. Tu oublies ton patron. « ME PARLE PAS DE LUI. » Tu lui plantes ton doigt sous le nez. Et lui, il attrape ton poignet. « Et tu me parles pas comme ça. »

Tu serres les dents, essaye de te dégager. Faut pas le frapper. Faut pas lui faire de mal. Tu as envie de hurler et de lui arracher les yeux. Mais tu ne fais que tirer sur ton bras. Ton poignet fragile bloqué dans sa poigne de faire. Tu as hurlé. Tu ne regrettes pas. Ton patron, lui, ce sera une autre histoire. Quant aux autres clients ... Cet abruti ne te ferait pas de mal. Quoique. Mais qui le comprendra ?
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MessageSujet: Re: the devil is calling me back home. ▼ (lilian)   the devil is calling me back home. ▼ (lilian) EmptyVen 25 Oct 2013 - 19:18

Non mais sérieux, pour qui se prenait cet abruti consanguin qui tenait la jambe à la rouquine ? Dixon s'était permise d'intervenir, d'autant que de son côté, elle n'était pas là pour supporter les jérémiades à deux balles de l'autre crétin.
Elle se contint aussi de faire remarquer à la serveuse que non, elle n'était pas une "plebéienne". Faut pas déconner non plus. Son revenu de flic doublé de ses études de profilage, en prime de l'argent qu'elle avait eu de côté ante mortem et qui lui avait été passé comme "héritage" lui permettait de temps en temps, de faire quelques petites folies comme des bottes Louboutins, ou un petit sac m'a tu vu. Ou carrément de faire greffer des perles de cultures à son revolver qu'elle cachait amoureusement chez elle. C'était kitsch, mais tellement mignon. En revanche, sa lourde arme de service était restée intacte.
Quittant enfin la table de l'autre couillon pour se laisser choir sur sa chaise en bois, c'est avec un plaisir non feint qu'elle vit la serveuse lui déposer son verre avec une petite phrase qui lui fit décrocher un sourire cynique.
"Thanks, honey." Répliqua la brunette en portant le verre à ses lèvres, et notant le petit plus d'alcool dans le récipient. Déposant la somme de la consommation, et la moitié du billet en guise de pourboire pour la serveuse, Dixon retourna à sa contemplation. Savourant le parfum sucré de l'alcool. Une infîme gorgée coula le long de sa gorge, tandis qu'elle en buvait une seconde un peu plus grande qu'elle fit reposer sur sa langue avant de l'avaler à son tour.
Cet infîme moment de plaisir aurait pu être parfait si SEULEMENT, l'autre consanguin n'avait pas encore ouvert sa bouchre pour la ramener. Bordel, mais foutez lui un bouchon quoi !

Oh. Et le pauvre chou qui tente de la reconquérir. Genre tu sais pas ce que t'as fais. Genre, elle t'as jeté comme une loque pour rien ? (Quoi que, vu le caractère de Daisy... -> )
L'affaire ne l'aurait pas particulièrement ému, si elle n'avait pas remarqué le corps crispé de la serveuse, son envie de clore la conversation et surtout, son ton glacé comme la mort. ET la mort, Dixon, elle s'y connaît ! Tournant la tête vers le petit duo en fronçant les sourcils, elle vit pile le jeune homme attraper le poignet de la jeune femme fermement, et celle-ci crier. De surprise, de peur, de rage ? Un peu des trois à la fois maybe. Quoi qu'il en était, ce cirque ne pouvait pas durer éternellement, et même si en temps normal, elle ne se mêlait pas de ce qui la regardait (ah bon ?!) Dixon se leva encore une fois de sa chaise, et s'approcha encore d'un pas ferme vers la table voisine, posant sa main sur celui du lourdeau, serrant fermement. Pas assez pour lui faire lâcher prise, mais suffisemment pour qu'il sente les ongles en résine de la jeune femme s'enfoncer dans sa chaire. Juste un chouïa, pour annoncer la couleur.
"Il me semble qu'on s'est pas compris tout à l'heure. Tu lâche la jeune fille qui voudrait bosser tranquille, sans qu'un attardé ne lui prenne le chou sur son lieu de travail, qui plus est."
Sa voix était devenue froide, ne tolérant aucun refus.
Cette histoire commençait sérieusement à lui mettre les nerfs à vif, et il n'alalit pas en falloir beaucoup pour qu'elle use et abuse de sa carte de flic et de son arme de fonction pour faire taire Monsieur Connard. Quoi que. Elle allait encore se faire reprendre, comme cette fois ou elle avait pu passer dans une boîte de nuit VIP et danser toute la nuit, seulement en ayant montré sa carte et pretexter mener une enquête sur un trafic de cocaïne. Aaaah, la bonne époque...
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